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  • Seven Sidh
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    Lord of the Sidh
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    Meijin • 名人
    Sommaire

    I Introduction
    - 1 Qui sont-ils/elles ?
    - 2 Comment ont-ils/elles pu atterrir au Seven Sidh ?
    - 3 Et concrètement, comment se sont articulés leur recrutement/inscription et leur embauche/arrivée ?
    - 4 Quel est leur statut au sein du complexe ?
    - 5 Qu’en est-il de leur salaire ?
    - 6 Qui sont leurs supérieurs hiérarchiques ?
    - 7 En quoi consiste leur travail/leur mission ?
    - 8 Ont-ils/elles droit au port d’armes ?
    - 9 Ont-ils des perspectives d’évolution professionnelle ou autre ?

    II Accessibilité - Lieux de vie
    - 1 Où résident-ils/elles ?
    - 2 Quels sont les endroits qui leur sont interdits d’accès ?
    - 3 Sont-ils/elles autorisés à quitter l’île ?

    III Vie quotidienne - Dress Code
    - 1 Comment est organisée la vie à la Joukan ?
    - 2 Sont-ils/elles autorisés à décorer/s’approprier leur chambre ?
    - 3 Quelles sont les distractions/hobbies accessibles ?
    - 4 Quel dress code doivent-ils/elles respecter ?
    - 5 Et y a-t-il des obligations esthétiques à respecter également (rasage, maquillage, bijoux, tatouages, coiffures…) ?
    - 6 Le petit plus qui les rends reconnaissables au premier coup d’œil
    - 7 Peuvent-ils s’acheter ou se commander des vêtements/du stuff ?
    - 8 Peuvent-ils avoir un animal de compagnie ?

    IV Rapport à la santé et aux drogues
    - 1 Sont-ils/elles tenu(e)s de pratiquer une activité physique régulière ?
    - 2 En quoi consiste leur suivi médical de base ?
    - 3 Comment s’articule la prise d’un traitement si elle s’avère nécessaire ?
    - 4 Peuvent-ils/elles bénéficier d’un arrêt maladie ?
    - 5 Sont-ils/elles autorisé(e)s à consommer de l’alcool et dans quelles conditions ?
    - 6 Même question concernant la drogue au sens large ?

    V Emploi du temps indicatif
    - 1 Informations complémentaires
    - 2 Comment sont gérés les plannings ?
    - 3 Peuvent-ils/elles demander ou avoir des congés ?

    VI Vie privée - Relations
    - 1 Peuvent-ils entrer en contact avec leurs proches (extérieurs au complexe) ?
    - 2 Quelles relations sont-ils/elles autorisé(e)s à avoir avec les autres groupes ?
    - 3 Peuvent-ils/elles avoir un(e) petit(e) ami(e) ?
    - 4 Peuvent-ils/elles se marier ?
    - 5 Sont-ils/elles autorisé(e)s à devenir parents ?

    VII Devoirs à respecter
    - 1 Apparence
    - 2 Travail
    - 3 Vie quotidienne
    - 4 Vie sociale

    VIII Infractions & Sanctions applicables
    - 1 Informations complémentaires
    - 2 Stade 1 : Comportement non professionnel
    - 3 Stade 2 :  Comportement irrespectueux/problématique
    - 4 Stade 3 : Abus de pouvoir
    - 5 Stade 4 : Dommages irréversibles, trahison
    - 6 Dans quelles conditions peuvent-ils/elles être condamné(e)s à mort par les dirigeants ?
    © j a w n
    Jeu 24 Oct 2024 - 15:16
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    Lord of the Sidh
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    Date d'inscription : 24/10/2024
    Meijin • 名人
    Les maîtres du Seven Sidh
    Introduction

    Qui sont-ils/elles ?
    Des criminels avérés ou complices des différents méfaits opérés par leurs clans respectifs.
    Pour certains, il s’agit d’un héritage familial passablement lourd à porter, ils n’ont tout simplement pas eu le choix, car c’était la seule voie possible à emprunter pour eux. Tout comme les oubliés du système, les laissés pour compte contraints de gagner leur croûte par des moyens peu recommandables ou en s’acoquinant des “mauvaises” personnes.
    Certains ont même été piégés ou se sont vus contraints de rembourser une dette en rejoignant les rangs. Qu’ils l’aient souhaité ou non, tous sont conscients que se reconvertir en citoyen modèle s’avèrera impossible et ont embrassé leur destin.
    Il y a toujours eu des gens comme eux et beaucoup leur survivront encore.
    C’est ainsi que le monde tourne.

    Comment ont-ils/elles pu atterrir au Seven Sidh ?
    Tous ont été sélectionnés pour leur implication, leur loyauté et leurs qualités déjà maintes fois démontrées au sein du clan qu’ils servent.
    Généralement, soit ils ont été mandés par l’un des dirigeants qui les avaient particulièrement à la bonne, soit d’autres grands pontes s'en sont chargés sans forcément demander l’avis de ces derniers. Bien souvent pour les récompenser, parfois pour s’en servir de “taupes”, plus rarement pour les écarter des affaires locales…
    Même en souhaitant se débarrasser d’un élément “encombrant”, il fallait être en mesure d’appuyer sa candidature à tel ou tel poste avec des arguments valables.
    Et soyez certain que personne n’a été mis sur le coup par hasard.

    Et concrètement, comment se sont articulés leur recrutement/inscription et leur embauche/arrivée ?
    Après une entrevue plutôt révérencieuse avec le dirigeant amené à être leur principal supérieur/référent (dépendant de leur domaine d’intervention et non de leur clan d’origine) et la signature d’un accord de confidentialité ; chaque Meijin a reçu un dossier complet sur le Seven Sidh et toutes ses installations.
    Une vraie Bible détaillant tout de A à Z, du rôle de chacun aux différentes procédures de sécurité et d’évacuation sans oublier le règlement intérieur, l’usage des différents pass et des armes, les moyens de communication à utiliser entre eux (codes radios, etc…), la vidéosurveillance et la quasi-omniscience du Data Center dont ils seraient tous des pions actifs à leur échelle…
    Absolument rien n’est laissé au hasard pour permettre aux Meijin d’adopter la bonne attitude en toutes circonstances et d’opérer avec aplomb et efficacité pour garantir le fonctionnement optimal et la pérennité des activités du complexe.
    Évidemment, la question de leur pseudonyme aura également été abordée lors de l'entretien avec possibilité de conserver le "surnom" qu'ils avaient déjà au sein du clan si celui-ci répond à la Charte.
    Si ce n'est pas le cas ou que les Meijin manquent d'inspiration, ils pourront être conseillés par leur dirigeant référent ou par le Service Ressources Humaines.
    Dans la suite logique, ils ont reçu un Blue Pass (accompagné de son étui de protection transparent et étanche), une carte d’identité magnétique unique contenant toutes les informations nécessaires à leur évolution sur l’île et à même de déverrouiller les accès qui leur sont spécialement dédiés, à commencer par les portails de Nagisa et du Gakejoû.

    Certains accès plus spécifiques seront intégrés à leur pass dépendant de leur domaine d’expertise (accès aux Cachots pour les bourreaux, accès aux Archives pour les espions, accès aux Entrepôts pour le responsable logistique, etc.) pour éviter toutes dérives, histoire que chacun reste “chez soi” et que les moutons soient bien gardés.
    Vous l’aurez compris, bien qu’il ne s’agisse pas d’un passe-partout universel pour des raisons évidentes, arborer un Blue Pass n’a rien d’anodin et donne déjà un aperçu aux Meijin des responsabilités qui sont les leurs même à l’échelle individuelle.
    Un simple scan avec leur téléphone personnel permettra à chacun d’avoir accès à l’Intranet et à son espace Virtual Sidh.
    Si une chambre doit leur être attribuée au Joukan, c’est aussi grâce à leur pass qu’ils pourront en débloquer la serrure électronique après que l’Intendant(e) des lieux ait validé leur accès.
    Parce qu’il doit être arboré en permanence par les Meijin, le Blue Pass est accompagné d’une lanière outremer confortable à porter autour du cou et d’un porte-badge extensible pouvant être accroché à la taille ou à une poche de costume.
    Dépendant de leur rôle, les Meijin doivent pouvoir se joindre entre eux facilement et interpeller la Tour de contrôle à tout moment pour signaler le moindre point de vigilance ou être en mesure de confirmer leur présence à un endroit stratégique quand elle a été requise.
    Pour ce faire, on leur confiera une oreillette ou une mini-radio portative (avec batterie-socle) qu’ils devront brancher sur le bon canal pour passer les informations concernées en usant de nombreux codes inconnus des autres groupes.
    En outre, tous les Meijin ont droit au port d’une arme dite de service qu’ils peuvent choisir eux-mêmes et faire homologuer par le Data Center. Pour ce faire, ils devront attester savoir s’en servir et prouver son bon état de fonctionnement, mais en soi, l’arme en question (pour peu qu’elle reste discrète) peut être de n’importe quel type (blanche, à feu, non contondante, etc.).
    Ladite arme peut aussi leur être fournie directement à leur arrivée (généralement, il est compliqué de relier l’Irlande depuis un pays éloigné sans se faire gauler en transportant un arsenal avec soi…).

    En cas de perte ou de vol d’un pass, d’un moyen de communication ou d’une arme, un Meijin aura le devoir d’en référer d’urgence au Data Center pour tenter de localiser l’objet. Les personnes incriminées s’il y en a seront punies comme il se doit tout comme le Meijin en question si on estime qu’il a fait preuve de négligence. Dans le meilleur des cas, l’objet sera remplacé et la vie reprendra normalement son cours.

    Sur un ton plus “léger”, chaque Meijin recevra un costume dit professionnel, une tenue de soirée (chaussures incluses), une tenue traditionnelle asiatique pour se délasser (avec getas), une tenue de sport avec chaussures adaptées, un maillot de bain, des chaussons confortables ainsi qu’un kit de toilette complet comprenant peignoir, serviettes, produits d’hygiène, brosse, peigne, etc.
    Petite cerise sur le gâteau, tous les Meijin auront accès aux prestations payantes proposées par le complexe à moitié prix et... pourront côtoyer gratuitement les Hanako et les Geiko dans le privé en dehors de leurs heures de service (sans pour autant exiger d’eux les mêmes faveurs que celles rendues aux Seikaku, faut pas déconner non plus).


    Quel est leur statut au sein du complexe ?
    Ils sont considérés comme résidents occasionnels du complexe (même en étant amenés à y séjourner sur de longues périodes) et tous ont plus ou moins le statut cadre ou cadre sup dépendant de leurs attributions (quand ils ne sont pas carrément CEO ou équivalent concernant les  5 dirigeants).


    Qu’en est-il de leur salaire ?
    S’alignant sur leur niveau de responsabilités, les salaires des Meijin sont sans surprises les plus élevés du complexe.
    Ajoutées à cela les nombreuses primes de performances ou de risques qu’ils peuvent toucher tout comme l’apport généré par leurs heures supplémentaires (qui sont assez récurrentes et qu’ils ne comptent même plus).
    Même en étant le moins assidu possible, un Meijin ne gagne pas en dessous de 3000 € par mois (ou rarement) quand le salaire moyen du groupe se situe aux alentours des 4500 €.
    Un Meijin considéré comme encadrant gagnera dans les 6000 € quant aux dirigeants, ils peuvent accrocher les 10 000 € mensuels sans trop forcer.
    Dépendant des recettes du complexe, toutes ces moyennes sont bien souvent revues à la hausse d’un mois à l’autre.
    Et pourtant, il faut garder en tête que la majeure partie des bénéfices du Seven Sidh ne revient pas aux Meijin qui y officient, mais directement à leurs clans, ce qui donne une idée de la montagne de pognon générée par cette… heureuse coalition.
    Il va sans dire que jamais aucun bras droit ou homme de main tout aussi efficace soit-il n’a jamais touché autant de billes en travaillant au QG local du clan ou au sein de l’une de ses branches.
    Ce qui fait véritablement du Seven Sidh un projet en or massif auquel se greffer d’où la volonté d’y envoyer des sujets loyaux et méritants.
    Autant dire que les envieux ne manquent pas.


    Qui sont leurs supérieurs hiérarchiques ?
    Les 5 dirigeants qu’on ne présente désormais plus, Anshar, Freya, Ares, Fujin et Hela.
    En dehors de cela, il existe une hiérarchie assez tacite parmi les Meijin qui coule un peu de source. Chaque département ou bâtiment d’importance comporte en général un poste de référent/responsable/chef d’équipe/intendant, digne relais du dirigeant qu’il assiste et qui peut à cet effet ; se permettre de considérer les autres Meijin de l’équipe comme ses subalternes et leur donner des instructions en conséquence.
    Rien de nouveau sous le soleil en théorie, car tous les Meijin ont appris de longue date à savoir où se trouvait leur place et leur intérêt au sein de l’organisation criminelle dont ils se réclament à la base. La hiérarchie y étant généralement… bien établie et indiscutable ; les seuls conflits d’intérêts pouvant émerger concernent surtout des divergences de méthode entre clans plutôt que de réelles contestations d’autorité.


    En quoi consiste leur travail/leur mission ?
    Développer, encadrer, recadrer, protéger. S’ils avaient voulu la jouer culture d’entreprise à fond, ça aurait pu être leur slogan.
    En bons “propriétaires” des lieux, les Meijin doivent s’assurer par tous les moyens de la bonne marche des affaires ; ce qui passe par beaucoup de domaines, de la pure gestion en passant par le maintien de l’ordre, la mise en place d’un marketing à toute épreuve, la prospection, etc.
    Ils sont affiliés et bien souvent seuls maîtres à bord de tous les pôles jugés sensibles à commencer par la Sécurité, sous l’égide d’Ares. Gestion de crises, intimidation, surveillance et quadrillage de toute l’île ; autant d’interventions capitales qui visent à étouffer dans l'œuf les dissidences ou tout du moins à limiter l’impact d’évènements pouvant entacher la réputation des lieux, que l’on souhaite garder “mythique”.
    Et cela passe par un système de communication bien rodé que tous les Meijin présents sur le terrain ont été obligés d’adopter indépendamment de leurs attributions. Ce qui leur confère un avantage considérable par rapport aux autres groupes contraints (sauf exception) d’utiliser la messagerie Virtual Sidh, ne serait-ce que pour se coordonner.
    Les mini-radios portatives ou les oreillettes en plus d’être peu encombrantes, peuvent fonctionner en toutes circonstances même en cas d’intempérie ou d’incident réseau d’où le fait qu’elles se soient rapidement implantées dans la panoplie usuelle des Meijin.
    Elles permettent des échanges fluides, mais brefs avec la tour de contrôle du Data Center (l'œil de Sauron version An Rubha) ou même entre eux en se branchant sur les canaux opérationnels alloués aux différents quartiers. Toujours en usant de codes spécifiques pour raccourcir les messages et surtout pour que la conversation reste confidentielle.
    (Exemple : “Le 35 de la zone 4.3 a été géré” signifie “La bagarre du terrain de mini-golf a été stoppée”).
    En marge des échanges, les Meijin qui ne sont pas affiliés à la Sécurité (et ont leur canal dédié) sont invités à rester branchés sur le canal des urgences, car c’est par celui-là que transitent toutes les informations capitales délivrées par la Tour de contrôle notamment en cas de “crise” (incident technique d’envergure, tempête à venir, suspicion d’incendie, suicide, etc.).  
    En plus de connaître tous les codes radio par cœur, les Meijin sont évidemment censés savoir comment parer à chaque situation tout en tenant leur poste.
    Et parce que “savoir” est synonyme de “pouvoir”, ils ont aussi pour mission de conserver scrupuleusement tout ce qui pourrait s’avérer utile pour tenir en laisse leurs employés et leur clientèle. Rien que dans l’argumentaire commercial du Seven Sidh, il y a cette volonté d’amener précisément les Seikaku ou la future main-d’œuvre à baisser leur garde pour en tirer un maximum de profit. Ce qui est dévolu à Anshar et à sa batterie d’agents (ou de James Bond Girls non déclarées dépendant des points de vue).
    Mais au fond, tout cela n’est bon qu’à entretenir un contexte favorable à l’épanouissement de l’Art, du Sexe et du Narcissisme ; les trois piliers du Seven Sidh et bien souvent les seules choses auxquelles aspirent les privilégiés de ce monde (ce qui tombe plutôt bien, vous en conviendrez…).
    Dans ces domaines plus particulièrement, la propension au contrôle des Meijin est sans réelles limites dès lors qu’elle vise à obtenir le meilleur ou en tous cas, le plus lucratif. Et si cela doit se faire au prix de la liberté de certains, ils s’arrangeront pour leur faire passer la pilule tout en restant des gardiens… attentifs.
    Avoir main basse sur la santé des résidents permanents est un atout on ne peut plus précieux détenu par Hela et ses équipes.
    Sans leur concours, il serait pour ainsi dire impossible de faire fonctionner une telle machine à huis clos sur une île.
    Et pour ce qui est des autres aspects de la vie qu’elle soit quotidienne ou professionnelle, c’est à Freya et Fujin de donner le La.
    Ils sont suffisamment bien entourés pour tirer le meilleur des Hanako et des Geiko tout en veillant à ce qu’ils ne manquent de rien (si ce n’est d’intimité et de libre arbitre.). Et si cela s’avère nécessaire, ils troqueront la carotte pour le bâton, car oui, cela incombe aussi aux Meijin.
    Bien qu’il s’agisse de la partie la plus sombre de leur travail, il faut garder en tête que pour la plupart d’entre eux ; il n’y a guère de place pour la pitié ou le pardon quand ils estiment qu’il y a offense… irréparable.
    Les Meijin rendent leur propre justice et il arrive qu’elle tâche. Ici, aucune velléité d’approcher de près ou de loin un cadre légal et… je vous épargne les détails les plus sordides, mais… les Cachots ont une raison d’être.


    Ont-ils/elles droit au port d’armes ?
    Oui et ce sont pour ainsi dire les seuls à avoir ce privilège somme toute cohérent avec leur statut… et leur passé.
    Cependant, ce n’est pas une obligation pour les Meijin évoluant hors du spectre de la Sécurité et quand il est pratiqué, le port d’armes n’a rien d’une coquetterie mégalomane peu encadrée.
    Au contraire, les Meijin doivent justifier de certains prérequis avant d’en arriver là, à commencer par la maîtrise de l’arme qu’ils souhaitent arborer.
    Hors de question de confier une arme quelle qu’elle soit à quelqu’un qui ne sait pas s’en servir… Libre à chaque Meijin de s’améliorer en s’entraînant au Dojo pour y pallier.
    Si l’arme est jugée suffisamment discrète et que son porteur a fait ses preuves, elle sera homologuée au Data Center et deviendra son arme officielle.
    Ce qui induit qu’il est interdit d’arborer une arme non homologuée et/ou qui n’est pas la sienne là encore pour limiter les débordements.
    D’ailleurs, il est attendu des Meijin qu’ils usent de leur joujou avec la plus grande parcimonie en misant sur leur potentiel intimidant, surtout en public.
    Car si le but est que tout le monde se tienne à carreau, il n’est certainement pas d’inspirer un climat de terreur qui en plus d’être mauvais pour le moral des troupes serait catastrophique pour le business.  
    Autant que faire se peut, une arme doit être utilisée en dernier recours et si possible à l’abri des regards indiscrets (en escortant le fauteur de trouble dans un lieu isolé avant de le passer à tabac par exemple).
    Tout excès de zèle sera sévèrement recadré et pourra conduire à ce que le Meijin incriminé perde ce droit.


    Ont-ils des perspectives d’évolution professionnelle ou autre ?
    Difficile de dépasser le sommet de la pyramide quand on s’y trouve déjà.
    Mais des mouvements ascendants sont toujours possibles au sein du groupe pour peu qu’on se démarque positivement ou qu’on se rapproche… plus ou moins subtilement des dirigeants.
    Ainsi, il est possible pour un Meijin de se construire une véritable carrière au Seven Sidh et de gravir les échelons s’il adopte la bonne stratégie et… que des opportunités se présentent, car tous ne feront pas forcément de vieux os au complexe.
    Après tout, cette pseudo organisation salariale couplée à ce florilège de responsabilités ne convient pas à tous les profils, car pour beaucoup, leur activité quand ils étaient au service direct d’un clan était bien différente et servait des idéaux… bien plus terre à terre.
    Il est donc aisé d’être renvoyé dans ses pénates si on ne donne pas entière satisfaction comme Meijin avec… plus ou moins de déshonneur à la clé.
    Cela se traduira par un renvoi pur et simple dans le pays où on officiait avant de se greffer au Seven Sidh. Avec un peu de chance, on retrouvera même son ancien rôle au sein du clan avec la possibilité de revenir plus tard sur les lieux en tant que Seikaku à l’instar de beaucoup d’autres mafieux.
    Pour des raisons évidentes, jamais un Meijin ne sera “rétrogradé” comme Kinshin, Geiko ou Hanako peu importe ses compétences ou sa plastique. Ils en savent beaucoup trop sur le fonctionnement du complexe et sur les différents clans pour risquer de mettre le bisbille une fois relégué parmi les “innocentes” brebis.

    > Pour tous changements de grade/rôle de votre personnage, il suffira de se concerter en privé avec le Staff pour envisager si c’est possible ou non au vu du parcours de ce dernier. Compléter ensuite le background de sa fiche pourrait s’avérer utile. Cela peut également se jouer inRP avec le dirigeant de votre choix pour peu qu’il soit le principal décisionnaire au vu du domaine d’expertise brigué par votre personnage.
    Pour un changement de groupe, il sera préférable d’avoir une traçabilité en RP obligatoirement avec les acteurs concernés, car ce ne sera pas anodin ; là encore après avoir informé les admins de votre projet et obtenu leur accord.

    © j a w n
    Jeu 24 Oct 2024 - 15:16
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    Lord of the Sidh
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    Accessibilité - Lieux de vie

    Où résident-ils/elles ?
    Plusieurs possibilités s’offrent à eux dépendant d’à quel point leur présence est cruciale sur place et… de leurs horaires.
    Bien qu’ils puissent théoriquement partir en retraite spirituelle loin de l’Irlande quand ils le souhaitent, les  5 dirigeants revêtent plutôt l’habit de résidents permanents et jouissent chacun d’un bungalow privatif qu’ils ont conçu suivant leurs goûts personnels avec vue sur la mer côté ouest de l’enceinte du Gakejoû (崖城 - château de la falaise).  
    Autant dire qu’on fait plus cheap comme logement de fonction…
    Bien qu’il s’agisse d’un logement collectif type maison d’hôtes modèle XXXL, le Joukan (城館 - château, manoir) qui jouxte ces derniers n’est pas en reste question opulence et permet d’accueillir des Meijin sur une plus ou moins longue période quand ils en ont besoin.
    Certains ont pris le pari d’investir Baltimore ou sa région pour bien séparer leur vie pro’ et leur vie privée et ont pu bénéficier du parc immobilier irlandais acquis par les clans à proximité directe d’An Rubha en vue d’y loger une partie de leurs “collaborateurs”...
    Il allait de soi que l’île ne serait pas assez étendue pour accueillir à la fois les Seikaku et tout ce beau monde.
    Certains Meijin comme les démarcheurs sont même plus souvent amenés à travailler hors de l’île voire à l’étranger.

    Quels sont les endroits qui leur sont interdits d’accès ?
    A priori aucun même s’ils doivent pouvoir justifier de se trouver à des endroits spécifiques comme le Data Center, les Cachots, l’Okiya ou la Seirô s’ils ne sont pas accoutumés à y officier. Et… bien entendu, ce n’est pas parce qu’ils ont accès au Gakejoû qu’ils peuvent se permettre des libertés au point d’aller fureter du côté des Bungalows sans y être invités.
    Les dirigeants ne sont généralement pas fans de la manœuvre.

    Sont-ils/elles autorisés à quitter l’île ?
    Oui. Ils sont porteurs d’un pass et sont de fait libres de leurs mouvements, mais aussi parfaitement traçables via ce même pass et tous les appareils qu’ils ont utilisés au moins une fois pour se connecter au Virtual Sidh.
    Il est donc aisé de les suivre à la trace pour peu que ce soit voulu par la tour de contrôle même en dehors de l’île et… d’agir en conséquence si jamais leur absence se prolonge et devient suspecte.
    © j a w n
    Jeu 24 Oct 2024 - 15:16
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    Vie quotidienne - Dress Code

    Comment est organisée la vie au Joukan ?
    Bien qu’il soit très cosy, le Joukan n’en reste pas moins un simple dortoir pour la plupart des Meijin qui y élisent temporairement domicile.
    Beaucoup ont du mal à décrocher en résidant sur place et se contentent d’y combler quelques besoins vitaux en profitant de la maigre solitude qu’offre leur chambre ou leur suite.
    Reprenant le modèle d’une maison d’hôtes plutôt spacieuse, le Joukan présente des pièces de vie commune à commencer par la cuisine toute équipée (avec plaques à induction, four, micro-ondes, lave-vaisselle, blender, cuiseur à riz, machine à pain, grille-pain, bouilloire, fontaine à eau, machine à café, frigidaire et sellier approvisionnés une fois par semaine en produits frais) et plusieurs salles de bain ; les chambres ne présentant au mieux qu’une douche ou un bidet pour les plus petites.
    Une grande salle de séjour avec longue table à manger et coin salon - bibliothèque complète l’ensemble ainsi qu’une buanderie avec tout le nécessaire pour prendre soin de son linge.
    Bien qu’un Intendant soit également présent pour gérer l’entretien global des lieux ainsi que l’attribution/la libération des chambres, il va de soi que les Meijin n’ont de comptes à rendre à personne et vont et viennent comme dans un moulin.
    C’est avec leur pass qu’ils débloquent la serrure électronique de leur chambre personnelle, cette dernière se verrouillant automatiquement à chaque fois que la porte est fermée.
    Seul l’Intendant(e) a un accès à toutes les chambres via un pass global si besoin de dépanner ou d’inspecter dans de plus rares cas.
    À dire vrai, l’accès au Joukan n’est pas vraiment contrôlé dans le sens où seuls des Meijin et des Kinshin habilités fréquentent la zone du Gakejoû de manière générale, ce qui limite les visites surprises impromptues.
    Mais bien évidemment, les rares visiteurs provenant d’autres groupes dans l’enceinte du “Château” ont interdiction d’y mettre les pieds sauf sur invitation et/ou bonne escorte (comme lorsqu'ils sont convoqués dans les bungalows des dirigeants).
    Il est demandé aux Meijin de rester raisonnables avec ce genre de pratiques et de fréquenter les Hanako, Geiko, Kinshin non habilités et surtout les Seikaku en dehors du Gakejoû autant que faire se peut histoire de limiter les risques de fuites au maximum.
    Dès lors qu’ils convoquent quelqu’un, ils en ont l’entière responsabilité ainsi que de leurs actes tout le temps qu’ils passeront dans cette zone “restreinte”.
    Donc autant dire qu’on leur tombera dessus facilement si le moindre problème est à déplorer vis-à-vis de leur “invité”.


    Sont-ils/elles autorisés à décorer/s’approprier leur chambre ?
    Pas de restrictions formelles de ce côté-là, mais la plupart des Meijin n’ont pas franchement le temps de s'appesantir sur ce genre de frivolités et savent se contenter de tout ce qui est déjà mis à leur disposition dans le Joûkan (qu’ils n'occupent que sur une période prédéterminée à chaque fois).


    Quelles sont les distractions/hobbies accessibles ?
    Durant leur temps libre, les Meijin peuvent profiter de tout ce que le complexe a à offrir sans forcément prendre garde au taux d’affluence ou à leurs déplacements.
    Bien sûr, s’ils peuvent privilégier les périodes de privatisation, c’est d’autant mieux histoire de ne pas empiéter sur l’expérience des Seikaku.
    Ils bénéficient de rabais très intéressants sur toutes les prestations payantes en dehors du petit-déjeuner de l’Aurore qui leur est offert comme aux autres résidents qu’ils soient occasionnels ou permanents.
    Seul bémol, ils sont dans l’incapacité de booker des rendez-vous avec les Hanako et les Geiko, ce privilège étant réservé aux Seikaku. Après tout, ils ont tout le loisir de côtoyer ces derniers gratuitement en dehors de leurs heures de service s’ils le souhaitent.
    Pour la pratique plus spécifique du sport, les Meijin ont tendance à privilégier le Dojo qui est leur chasse gardée, mais peuvent sans soucis fréquenter les infrastructures de l’Acedia.
    Même de relâche, ils sont tenus d’arborer leur Blue Pass sur l’île, mais n’ont pas pour obligation d’avoir leur radio sur eux ; ce qui reste l’indice le plus tangible pour déterminer s’ils sont en activité ou pas. Un Meijin en repos aura aussi plus de facilité à se délester de son arme dissuasive et arborera généralement une tenue plus décontractée qu’en service même si un minimum de prestance reste exigé de leur part au vu de leur appartenance au groupe dirigeant.
    Ils peuvent évidemment profiter de tout le contenu alloué au divertissement via leur compte Versus autant sur smartphone que PC (également en dehors de l’île même s’ils sont invités à signaler leur IP résidentielle comme étant safe auprès du Data Center pour éviter tout désagrément ou plantage impromptu du Virtual Sidh ; chaque connexion externe étant scrupuleusement surveillée et interrompue au moindre doute par les webmasters sur site).
    Et bien évidemment, ils sont libres de pratiquer n’importe quelle activité récréative “inoffensive” en dehors de l’île et peuvent voyager où bon leur semble pourvu qu’ils pointent au travail en temps et en heure quand on les y attend.


    Quel dress code doivent-ils/elles respecter ?
    Là encore, rien n’est gravé dans le marbre, mais c’est toujours mieux d’en imposer quand on est le maître des lieux et de donner le ton instantanément d’un seul coup d'œil.
    Si cela passe énormément par l’attitude, on attend aussi des Meijin qu’ils placent la barre assez haute en termes de classe et de professionnalisme pour montrer l’exemple autour d’eux. À plus forte raison quand ils agissent sur le terrain.
    Mais bien entendu, la tenue qu’ils arborent s’adaptera aussi à leurs attributions, à leur place dans la hiérarchie voire… à leur clan d’appartenance, car chacun possède aussi une sorte d’identité visuelle assez reconnaissable pour peu qu’on se penche sur la question…
    On peut retenir globalement deux “écoles”, celle des costards en tous genres (autant chez les hommes que chez les femmes) et celle des tenues traditionnelles souvent observables dans les rangs de la Yana-Su et de la Yamiyo Gikai, les deux clans japonais en présence, mais aussi du côté de la Gaelic Havoc à l’héritage écossais affirmé, ce qui amène ses membres à arborer le kilt au gré de leurs envies.
    Le tout présentant beaucoup moins de fioritures et de détails excentriques que les tenues similaires arborées par les Seikaku ou… dans une moindre mesure par les autres groupes.
    Les couleurs privilégiées sont généralement sombres ou très passe-partout, tout semble strict et maîtrisé quand ils apparaissent en public depuis les motifs jusqu’à la coupe de leurs vêtements.
    Les Meijin amenés à travailler “dans l’ombre” se permettent occasionnellement plus de fantaisie tout comme ceux qui travaillent à la partie Entertainement des lieux tels les différents “tenanciers” des quartiers Luxuria et Superbia.
    Mais ils s’arrangeront toujours pour laisser peu de doutes planer quant à leur statut d’encadrant.


    Et y a-t-il des obligations esthétiques à respecter également (rasage, maquillage, bijoux, tatouages, coiffures…) ?
    En dehors des tatouages qui sont presque de l’acabit d’une marque de fabrique quand on appartient à la pègre internationale ; la tendance communément admise est à la sobriété.
    Pour beaucoup de Meijin, le côté esthétique pur est souvent laissé de côté au profit de l’efficacité et de la praticité d’un accessoire.
    Pour la plupart, ils n’avaient pas franchement le temps ni les moyens d’entretenir une coloration turquoise ou de passer une heure à se maquiller chaque matin avant de recevoir leurs missions quotidiennes quand ils officiaient en dehors du Seven Sidh.
    Le rythme de travail étant toujours assez soutenu sur l’île, on exige tout de même d’eux un effort supplémentaire pour ne pas paraître négligé ou débraillé, mais…ça s’arrête là.


    Le petit plus qui les rends reconnaissables au premier coup d’œil :
    > Le Blue Pass
    > Le port de l’oreillette / d’une radio
    > Le port d’une arme (optionnel)
    > Possiblement des tatouages très étendus
    > Des accoutrements classieux, mais plus sobres que la moyenne


    Peuvent-ils s’acheter ou se commander des vêtements/du stuff ?
    S’ils n’ont pas le temps d’aller faire du shopping en dehors de l’île, les Meijin peuvent parfaitement solliciter la boutique en ligne du Virtual Sidh et recevoir leurs commandes au Dit de l’Écume comme tout résident qui se respecte.


    Peuvent-ils avoir un animal de compagnie ?
    Le bon sens voudrait qu’ils laissent tomber l’idée surtout sur An Rubha, mais en soi rien ne les en empêche quand ils disposent d’un pied–à-terre individuel, pour peu qu’ils aient le temps de s’occuper de leur compagnon à quatre pattes…
    Il est cependant à noter que les animaux sont proscrits au Joukan.
    Si des chiens de travail sont parfois utilisés notamment par la Sécurité pour mener à bien des missions bien spécifiques ; ils sont pris en charge dans des chenils proches de la côte, mais extérieurs au complexe quand ils n’appartiennent pas à des Meijin habitant également dans le coin.
    Il n’y a que très peu d’infrastructures sur l’île étudiées pour l’accueil et l’entretien d’animaux de compagnie exception faite des clapiers à lapines naines de la Seirô qui sont très anecdotiques et circonstanciels (pour allouer une présence réconfortante et “thérapeutique” aux Hanako).

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    Rapport à la santé et aux drogues

    Sont-ils/elles tenu(e)s de pratiquer une activité physique régulière ?
    Peu importe ce qu’ils sont amenés à faire au sein du complexe, il va de soi que l’oisiveté n’y aura aucune place. Aussi, les Meijin les moins sportifs ou rôdés en matière d’arts martiaux (les deux allant souvent de paire) sont invités à se mettre au diapason et à se maintenir en bonne forme. Ils ont la chance d’avoir leur propre structure dédiée à l’entraînement, nul autre que le Dojo alors il serait très malvenu de ne pas en profiter à sa juste valeur.
    Pour tous les autres, le maintien de leur routine sportive et de leurs acquis est évidemment à poursuivre au mieux.

    En quoi consiste leur suivi médical de base ?
    Les équipes du Health Center étant déjà très sollicitées par le suivi des résidents permanents, les Meijin ont pour consigne d’aller consulter autant que faire se peut à l’extérieur du complexe en dehors des visites médicales biannuelles obligatoires où… tout est passé au crible.
    Bien qu’ils soient quasi autonomes dans la gestion de leur santé, on exige des Meijin une rigueur sans faille pour éviter de propager des maladies indésirables à fortiori celles qui se transmettent sexuellement.
    Énormément de précautions et de procédés étant imposés autant aux Hanako/Geiko qu’aux Seikaku pour annihiler le phénomène, il est du devoir des Meijin de suivre le même exemple de leur propre initiative surtout s’ils projettent multiplier les réjouissances sur place (et personne n’est dupe, même les plus “sages” finissent toujours par succomber à l’ambiance des lieux.).
    Comme absolument tout arrive à se savoir très vite, n’importe quel Meijin qui aurait exercé ou… couché en étant contagieux, à plus forte raison au contact de résidents permanents ; sera très sévèrement réprimandé et… aura intérêt à prouver qu’il n’était pas du tout au courant et que c’était purement accidentel.
    Un tel acte effectué en connaissance de cause sera passible d’un châtiment on ne peut plus sévère.
    Car autant dire qu’on ne rigole pas du tout avec ça en étant à huis clos sur une île qui en plus se targue d’être un joyau du commerce sexuel.
    En cas de soucis de santé ponctuel ou pour soigner les petites urgences, ils seront bien sûr reçus au Health Center ou escortés en hélico jusqu’au Bantry General Hospital si leur état le nécessite.

    Comment s’articule la prise d’un traitement si elle s’avère nécessaire ?
    La plupart sont assez “grands” pour lire une notice donc… généralement ils se débrouillent.
    Trêve de plaisanterie ; sur présentation d’une ordonnance valide, les Meijin ont le droit de ramener des médicaments en provenance de l’extérieur (pour leur propre consommation) en les signalant au moment de franchir le portail de Nagisa.
    En importer “clandestinement” serait considéré assez suspect.
    Et s’ils sont en rade, la même ordonnance peut leur permettre d’obtenir leur traitement auprès du Health Center et de l’emporter avec eux.
    En cas de bobo passager, l’Intendant(e) du Joukan a accès à une trousse de premiers secours et peut dépanner les Meijin pour une prise ponctuelle d’antidouleurs ou de mélatonine par exemple. Tout comme les dirigeants qui ont ce qu’il faut dans leurs bungalows respectifs.

    Peuvent-ils/elles bénéficier d’un arrêt maladie ?
    Oui, au même titre que tous les salariés du complexe. Faire travailler un Meijin malade s’avérerait complètement contre-productif voire potentiellement dangereux (vu qu’ils peuvent trimballer n’importe quel miasme en provenance de l’extérieur de l’île) alors au moindre doute sérieux ; le Meijin en question est arrêté et mis en quarantaine.
    Cela se traduit par une assignation à résidence plus ou moins longue s’il habite en dehors de complexe (il sera signalé aux gardiens du Portail avec interdiction formelle de le laisser entrer pendant toute la durée de son arrêt) ou par une isolation quasi totale au Joukan ou en chambre médicalisée au Health Center s’il y a risque de contamination avec visite régulière d’un membre du personnel soignant. Si le mal en question n’est pas transmissible, le Meijin est autorisé à se déplacer, mais en se faisant petit et en privilégiant le repos pour un prompt rétablissement.
    Pour plus de facilités, la reprise du travail sera le plus souvent validée par un médecin du Health Center.

    Sont-ils/elles autorisé(e)s à consommer de l’alcool et dans quelles conditions ?
    Autant que faire se peut, pas quand ils travaillent déjà ça ferait un peu désordre.
    Autrement, ils ne sont pas du tout chaperonnés comme peuvent l’être les résidents permanents à ce niveau-là et s’autogèrent.
    Tant qu’ils ne sont à l’origine d’aucun débordement et que leur état d’ébriété n’impacte négativement qu’eux-mêmes, c’est open-bar.

    Même question concernant la drogue au sens large ?
    C’est un peu le même discours que pour l’alcool.
    Il est très peu probable que des junkies notoires aient été promus comme Meijin à la toute base donc s’ils veulent tester des choses ou en consommer à doses plus ou moins raisonnables (à leurs risques et périls) ; le choix leur appartiendra.
    Tant que leur consommation n’érode pas la qualité de leur travail et ne met personne d’autre en danger, personne n’ira s’en mêler.
    Quant à la fumette, dès lors qu’elle a lieu dans les zones autorisées, ils peuvent encrasser leurs poumons à loisir.
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    Emploi du temps indicatif


    Informations complémentaires :
    > Les Meijin sont répartis en trois équipes d’intervention fonctionnant par roulement tout au long de la journée et de la nuit, il s’agit de shifts de 10 h incluant une heure de pause. À leur arrivée, on essaiera au maximum de les arranger et de leur attribuer le shift qu’ils souhaitent vu qu’ils seront amenés à le conserver un bon moment (même s’il sera possible de switcher par la suite) histoire de ne pas être trop déphasés par des changements de rythme intempestifs.
    Si ce n’est pas possible, ils seront répartis en fonction des besoins opérationnels du Seven Sidh.
    Les Meijin bénéficient de deux jours de repos dans la semaine qu’on tâche de conserver fixes et consécutifs, mais dépendant des problématiques du complexe et des absences de certains, cela peut être amené à bouger.
    Les 5 dirigeants quant à eux, répartissent leur temps d’activité au jour le jour selon les besoins de leurs équipes et les tâches qu’ils s’astreignent à remplir.
    Autant dire qu’ils dorment peu.

    - Le Shift Jour dit Shift J se déroule de 6 h à 16 h entrecoupé d’une pause déjeuner de 45 min prise aux alentours de 14 h en général après avoir passé le relais à l’équipe intermédiaire. Les Meijin assignés à cette plage horaire ont souvent des activités en lien avec la logistique (entretien, approvisionnement). Parce qu’ils sont obligés de se lever très tôt pour espérer profiter du petit-déjeuner offert et qu’il est plus difficile de choper des navettes à cette heure pour accéder à An Rubha ; ils sont une bonne moitié à aspirer résider sur place. L’autre partie, à peu près équivalente, préfère profiter de sa fin d’après-midi et de sa soirée dans un logement privatif à Baltimore ou dans ses environs.

    - Le Shift Intermédiaire dit Shift I se déroule de 14 h à minuit entrecoupé d’une pause repas de 45 min aux alentours de 22 h avant de passer le relais aux équipes de nuit quand vient “l’heure du crime”. Ils sont les Meijin les plus sollicités et les plus polyvalents, susceptibles d’intervenir dans n’importe quel domaine sans qu’un en particulier ne se démarque vraiment. À ce titre, on estime qu’ils ont le shift le plus fatiguant et pour leur permettre de profiter de l’Aurore à sa juste valeur et de pouvoir récupérer le plus efficacement possible ; ils ont toujours la priorité pour résider au Joukan.

    - Le Shift Nuit dit Shift N se déroule de 20 h à 6 h en quasi continu avec 4 quarts d’heure de pause à prendre… quand on le peut. La plupart des Meijin assignés à cette plage horaire travaillent dans la Sécurité et la surveillance ou sont directement impactés par les activités nocturnes des quartiers Luxuria et Superbia. Ironiquement, malgré ce rythme assez particulier, ils sont ceux qui ont le plus facilement accès aux navettes pour pouvoir rejoindre ou quitter le complexe à leur guise et beaucoup résident de ce fait à l’extérieur.  


    > Les phases de repos/congés (sigle doré “R”) ou d’arrêt maladie (croix verte) sont visibles dans le planning, car elles sont grisées (zone grise).

    Comment sont gérés les plannings ?
    Concernant les Meijin particulièrement, les plannings ne sont pas amenés à énormément bouger au cours de l’année sauf pic d’affluence exceptionnel ou évènement particulier.
    Une fois qu’ils ont reçu leurs attributions et leurs shifts de référence, c’est à eux de moduler aussi leur temps effectif de travail en faisant des heures supplémentaires s’ils les jugent opportunes ou obligatoires. La traçabilité de leur pass permettant aisément de savoir quand ils s’absentent, rejoignent/quittent leur chambre au Joukan ou arrivent sur les lieux ; il y aura toujours moyen d’estimer facilement à la louche ce qu’ils ont fourni comme temps de travail bonus et d’ajuster leur salaire en conséquence.
    Rien ne les empêche d’aller râler aux RH du Data Center s’ils jugent qu’ils se font entuber à ce niveau-là.

    Peuvent-ils/elles demander ou avoir des congés ?
    Oui, chaque Meijin possède un crédit de 28 jours de congés (non payés) par an qu’il pourra plaquer selon sa convenance dans son planning dès le 1er janvier. Il n’y a aucune limite imposée en termes de période donc ils peuvent très bien s’absenter pendant un mois complet en posant tous leurs jours à la suite. Ce que beaucoup font d’ailleurs pour retourner dans leur pays d’origine ou de cœur et régler des affaires personnelles, revoir des proches.
    Plus lesdits congés auront été anticipés, plus les Meijin seront assurés de les obtenir ; ce qui sera beaucoup plus touchy s’ils s’y prennent au dernier moment.
    Les besoins du Seven Sidh passant avant leur agrément personnel, ils peuvent parfaitement se voir refuser des congés et être amenés à les reporter.
    Si leur solde de 28 jours n’a pas été totalement consommé dans l’année, les jours de congés restants leur seront payés comme s’il s’agissait d’heures sup, mais ne pourront pas s’ajouter au solde de l’année suivante.
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    Vie privée - Relations

    Peuvent-ils entrer en contact avec leurs proches (extérieurs au complexe) ?
    Les Meijin n’ont pas franchement de restrictions à ce niveau-là si ce n’est qu’ils ont signé un accord de confidentialité au même titre que les autres résidents occasionnels leur interdisant de parler en détail de ce qui se déroule au Seven Sidh.
    Ils sont avisés cependant qu’à chaque fois qu’ils utilisent l’intranet Virtual Sidh pour bénéficier de suffisamment de réseau sur An Rubha et joindre leurs proches via leur portable personnel, leurs conversations peuvent être écoutées par la Tour de contrôle (même si elle a en général mieux à faire, c’est toujours bon à savoir…). Même chose s’ils utilisent un navigateur différent pour envoyer des mails, ces derniers peuvent être interceptés et lus.
    Vis-à-vis du courrier papier, il n’est pas systématiquement dépouillé par le Préposé du Dit de l’Écume, mais rien ne l’en empêche formellement non plus.

    Quelles relations sont-ils/elles autorisé(e)s à avoir avec les autres groupes ?
    Concernant les employés du complexe qui sont tous sous leur égide à des degrés différents, les Meijin sont encouragés à maintenir un rapport hiérarchique clair, voire ferme si nécessaire avec eux.

    Théoriquement, ils ne sont pas censés être “copains” mais dans les faits, c’est évidemment bien plus compliqué que ça.
    Dans l’idéal, il faudrait éviter tout rapprochement d’envergure avec les résidents permanents que sont les Geiko et les Hanako, car trop d’attachement conduit souvent à…faire du favoritisme ou des erreurs. Le fait qu’ils soient très encadrés et prompts à attiser la convoitise n’aide pas franchement à suivre cette directive à la lettre et c’est okay tant que les Meijin conservent leurs relations avec ces derniers très confidentielles et invisibles en public ou presque.
    Il ne faudra pas non plus que les traitements de faveur soient légions et clairement identifiables comme des pourboires trop récurrents/importants ou des exemptions de punitions.

    Vis-à-vis des Kinshin, le mot d’ordre est similaire quoique plus ténu tout de même dans la mesure où s’ils le souhaitent, les deux groupes peuvent tout aussi bien se côtoyer à l’extérieur de l’île sans s’imposer de barrières ou de protocoles particuliers.
    Évidemment, ce n’est pas… ce qui est encouragé mais c’est possible. En revanche, les complicités parfois très fortes entretenues entre Kinshin et Meijin se doivent là encore d’être discrètes dans le domaine professionnel et en public dans l’enceinte du Seven Sidh.

    Pour ce qui est des Seikaku, bien qu’ils doivent logiquement caresser leurs invités d’honneur dans le sens du poil ; les Meijin doivent toujours asseoir leur statut de maîtres des lieux à leur contact. Ils peuvent néanmoins s’accorder plus de liberté avec eux même en public, car après tout, ces derniers ne sont pas sous leurs ordres et le respect qu’ils entretiennent les uns pour les autres s’équivaut. Aucun n’aurait une raison d’être si l’autre n’existait pas et cette interdépendance auréolée d’histoires de gros sous conduit forcément à des alliances ou… à des mésententes qu’il faudra là encore savoir gérer au mieux du point de vue des Meijin. Quand on sait qu’un bon tiers des Seikaku provient des cinq clans propriétaires, c’est d’autant plus vrai. Même les mafieux ont droit à des vacances après tout…

    Peuvent-ils/elles avoir un(e) petit(e) ami(e) ?
    Oui, aucun n’a fait vœu de chasteté ou de célibat normalement.
    Mais là encore, il s’agira de rester professionnel en toutes circonstances si leur moitié travaille au Seven Sidh, ce qui… est souvent le cas.
    Car autant dire qu’entretenir une relation poussée avec une personne complètement extérieure à l’affaire et au milieu de la pègre plus généralement n’est… pas chose aisée quand on souhaite conserver sa couverture intacte.

    Peuvent-ils/elles se marier ?
    Rien ne les en empêche s’ils pensent pouvoir concilier leur devoir conjugal et leur mission au Seven Sidh.
    Il est à noter cependant que les Meijin ne peuvent pas marier des Higanbana ou des Geiko pour les affranchir de leur condition. Seuls les Seikaku (dans des cas bien particuliers) peuvent prétendre à ce droit.

    Sont-ils/elles autorisé(e)s à devenir parents ?
    Même topo. Si leur vie de famille leur semble conciliable avec leurs activités au sein du complexe, pourquoi pas ?
    Il va de soi que ce sera beaucoup plus compliqué à gérer pour les femmes Meijin cependant qui ne peuvent pas bénéficier de congés maternité et devront sans aucun doute quitter leur poste au Seven Sidh si elles souhaitent devenir mères.
    Par ailleurs, aucun enfant en dessous de 18 ans n’étant admis sur l’île ; ça risque d’être un soupçon compliqué pour les Meijin aspirant à être parents de s’impliquer dans l’éducation de leur enfant et cela les obligera à avoir un pied-à-terre en dehors de l’île pour côtoyer leur rejeton.
    Bref, beaucoup de désagréments à prévoir et pour cause, l’écrasante majorité des Meijin ne nourrit pas ce genre de projet. Aucun n’aurait rejoint l’aventure si son aspiration du moment était de fonder une famille.
    Il n’est cependant pas si rare que des Meijin soient déjà parents avant leur intronisation au Seven Sidh mais au choix ils ne reconnaissent pas leur descendance ou dédaignent leurs responsabilités de parent, laissant toute la charge familiale à celui qui est resté au bercail ou en tous cas extérieur au projet.
    Il arrive aussi que dans une optique de préserver leurs enfants, les Meijin limitent sciemment leurs contacts avec eux sans pour autant les renier.
    Dès lors que leur implication au Seven Sidh reste manifeste et confidentielle, ils gèrent leur vie privée comme ils l’entendent.
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    Jeu 24 Oct 2024 - 15:17
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    Devoirs à respecter

    Apparence :
    -> Toujours arborer son Blue Pass dans l’enceinte de l’île
    -> Montrer l’exemple et rester professionnel
    -> S’assurer que l’arme qu’on arbore est discrète et dispose d’une sécurité

    Travail :
    -> Être ponctuel et assidu
    -> Veiller à la préservation des lieux
    -> Rester joignable en toutes circonstances
    -> Répondre à la Tour de contrôle et suivre ses directives
    -> Respecter sa hiérarchie
    -> Anticiper, justifier et prévenir ses absences
    -> S’allouer des temps de pause en bonne intelligence
    -> Être garant d’une bonne cohésion, savoir travailler en équipe
    -> Être réactif et autonome dans les situations de crise
    -> Savoir rester ferme avec les employés
    -> Doser tous accès de violence et utiliser son arme en dernier recours dans un endroit approprié/isolé
    -> Éviter de boire ou de se droguer pendant le service
    -> Communiquer et être un relais efficace pour ses collègues
    -> Ménager les Seikaku et leur offrir le meilleur accueil possible

    Vie quotidienne :
    -> Rester joignable en cas d’urgence
    -> Se maintenir en forme et rester performant dans ses disciplines de prédilection
    -> Ne rien dévoiler aux profanes (proches inclus) à propos du complexe
    -> Gérer au mieux sa santé et rester en retrait du Seven Sidh / respecter sa quarantaine si contagieux (non négociable)
    -> Respecter toutes les infrastructures mises à disposition
    -> Veiller à ne pas égarer d’objets problématiques ou à en laisser à disposition  
    -> Ne pas chercher à accéder à des endroits restreints sans raison valable
    -> Privilégier les visites aux résidents permanents hors du Gakejoû
    -> Éviter d’avoir de l’argent physique sur soi au Seven Sidh
    -> Signaler l’introduction de tous médicaments ou substances similaires provenant de l’extérieur

    Vie sociale :
    -> Afficher une position d’encadrant formelle avec les employés (dans le privé également même si à plus petite dose)
    -> Cloisonner intelligemment vie privée et vie professionnelle au niveau de ses relations
    -> Limiter tous signes d’affection flagrants en public
    -> Rester conscient que tout ce qui transite par l’intranet VS peut être consulté au même titre que le courrier envoyé ou reçu via le Dit de l’Écume.
    -> Savoir rester raisonnable et ne pas distribuer aveuglément des privilèges
    © j a w n
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    Infractions & Sanctions applicables

    Informations complémentaires :
    Les résidents occasionnels du Seven Sidh sont soumis à un système de sanctions bien plus stricte et cloisonné que les résidents permanents dans la mesure où ils ont accès à l’extérieur et multiplient ainsi leurs chances de porter atteinte au complexe, que ce soit volontairement ou à leur insu et de manière potentiellement plus retentissante.
    Toutes les infractions possibles et communément retenues sont listées par stade pour chaque entité qu’ils s’agissent des Meijin, des Kinshin ou des Seikaku.
    Dépendant de ce stade de “gravité”, différentes sanctions s’appliquent de la plus gentille à la plus définitive. Et personne au sein des trois groupes n’ignore ce qui lui pend au nez en cas de faute.


    Stade 1 : Comportement non professionnel
    Toutes ces infractions découlent d’un manque de rigueur et de retenue. Deux qualités que chaque Meijin se doit d’acquérir rapidement si ce n’est pas déjà le cas. Leur impact étant jugé assez anecdotique sur la bonne marche du complexe, elles ne sont pas punies très sévèrement même si les Meijin concernés doivent rectifier le tir rapidement. S’ils persistent dans leur désinvolture, ils peuvent néanmoins être définitivement renvoyés du Seven Sidh.

    - Détérioration - Négligence
    - Port d’arme non homologuée/non maîtrisée/trop voyante
    - Violence verbale gratuite / Harcèlement avéré (répété) en public
    - Propagation de maladie bénigne (accidentellement et hors MST)
    - Matériel de communication défectueux
    - Générosité ostentatoire avec les employés

    Sanction applicable : Avertissement, Mise à l'épreuve, Renvoi définitif si récurrence

    Stade 2 :  Comportement irrespectueux/problématique
    Autant dire que les Meijin qui versent dans ce genre de comportement auront beaucoup de mal à rentrer dans les bonnes grâces des dirigeants et à progresser sur l’échelle sociale. Ils devront faire des pieds et des mains pour être considérés comme de bons éléments dignes de confiance. Il s’agit là de manquements susceptibles d’impacter à petite échelle la bonne marche du complexe.
    En cas de récurrence, les Meijin incriminés peuvent être considérés comme de vrais moutons noirs et être poussés vers la sortie à grands coups de pied dans le fondement.

    - Non respect de la hiérarchie
    - Vandalisme volontaire
    - Mauvaise utilisation du matériel de communication (informations erronées, ignorance des appels de la Tour de contrôle)
    - Non assistance en cas de crise
    - Vol d’objet
    - Passage de substances illicites non signalées
    - Utilisation d’une arme non homologuée/non maîtrisée
    - Conversation ou courrier suspect
    - Absence non signalée
    - Plainte recevable d’un employé
    - Tentative d’infiltration en zone/bâtiment non autorisé(e)
    - Introduction de personnel non habilité et problématique au Gakejoû

    Sanction applicable : Mise à l’épreuve, Renvoi temporaire de courte durée, Renvoi définitif si récurrence

    Stade 3 : Abus de pouvoir
    Les Meijin responsables de tels agissements commencent à être significativement mal vus et seront au mieux chassés du complexe pendant un temps appréciable le temps de réfléchir à leurs actes hautement répréhensibles. Ces derniers impactant directement le complexe et son image à ce stade et étant la preuve irréfutable qu’ils s’imaginent au-dessus de toute forme de loi. De tels écarts de discipline s’ils sont réitérés peuvent conduire à la mise à mort car dépassée une certaine limite, l’offense devient beaucoup trop grande et n’aurait de toute façon pas été tolérée au sein des différents clans dirigeants.

    - Utilisation abusive d’une arme
    - Vol de pass / d’objet électronique
    - Violence physique gratuite délivrée en public
    - Violence sexuelle (non consentie)
    - Traîtrise - Tentative de porter atteinte à un clan particulier
    - Plainte d’un Seikaku
    - Propagation de maladie bénigne en connaissance de cause (intentionnelle et hors MST)

    Sanction applicable : Renvoi temporaire de longue durée, Renvoi définitif, Mise à mort si récidives

    Stade 4 : Dommages irréversibles, trahison
    Un Meijin qui atteindrait ce degré de malveillance à l’égard du complexe et de ses semblables sera supprimé généralement sans préavis sauf avis contraire du big boss de son clan d’origine. Mais même dans ce cas-là, autant dire qu’il ne sera plus du tout en odeur de sainteté où que ce soit et qu’il n’est pas près de pouvoir à nouveau approcher du Seven Sidh de près ou de loin.

    - Sabotage (d’installations)
    - Trahison - Tentative de porter atteinte au complexe et à tous ses détenteurs
    - Meurtre accidentel ou intentionnel (non commandité)
    - Propagation de MST accidentelle/intentionnelle
    - Rupture de l’accord de confidentialité

    Sanction applicable : Renvoi définitif, Mise à mort

    Dans quelles conditions peuvent-ils/elles être condamné(e)s à mort par les dirigeants ?
    En cas d’infractions de stade 3 amenées à se succéder ou d’une infraction de stade 4. Néanmoins, dès qu’ils nourrissent le projet de refroidir l’un de leurs semblables, les dirigeants doivent en référer aux boss de leurs clans respectifs et avoir leur feu vert.
    S’ils en font l’économie, cela pourrait se retourner contre eux et leur coûter leur poste.
    Un Meijin sera toujours exécuté par le dirigeant appartenant à son clan d’origine (et pas forcément par son référent donc). Et si la mise à mort a été ratifiée par tous les acteurs en présence, ce sera au dirigeant en question de décider de l’art et la manière de procéder…
    Ça peut être très rapide et peu salissant comme… l’exact inverse. Tout dépend du degré de l’offense proférée et… de la compassion du dirigeant concerné.
    Pour être plus précis, cela peut aller de l’asphyxie - pendaison - décapitation pour les sentences les plus “soft” à la lapidation - battage à mort - amputation / hémorragie…
    Histoire de bien rappeler à tous les Meijin qui commande et ce qu’il en coûte de vouloir mettre à mal un projet aussi magnifique et prometteur.
    © j a w n


    Lun 4 Nov 2024 - 10:44
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