Les privilégiés de ce monde, ceux qui sont habitués à avoir tout ce qu’ils désirent d’un claquement de doigt ou en… lâchant quelques billets ; dont la valeur n’a cessé de décroître à leurs yeux conjointement à leur réussite sociale… et/ou financière.
Il serait néanmoins réducteur de penser que tous les invités du Seven Sidh se ressemblent et ont un parcours similaire ; le seul point commun vraiment tangible entre tous étant qu’ils ont les moyens de fréquenter un tel endroit sans s’inquiéter de la note finale.
L’art et la manière déployés pour atteindre un tel standing de vie, ça, c’est une autre histoire…
Bien entendu, certains n’ont aucun mérite et sont juste nés avec une cuillère en argent dans la bouche pour suivre ensuite le parcours classique du nepo baby et hériter du prestige et de la fortune de leurs aînés.
D’autres au contraire sont partis de peu et ont su tirer leur épingle du jeu au bon moment pour grimper dans l’échelle sociale, de manière plus ou moins réglo d’ailleurs. Dans tous les cas, ils ont su persévérer et user de beaucoup de matière grise dans le processus.
Il arrive que certains soient de prime abord complètement étrangers au monde de la jet set mais que la fortune ait décidé de leur sourire du jour au lendemain…
Gain d’une somme considérable d’argent sans savoir forcément quoi en faire, mariage avec une personne d’extraction sociale bien supérieure…
D’autres encore ont eu la riche idée de rejoindre l’un des clans fondateurs du projet ou de leur apporter une aide précieuse lors de sa genèse sans pour autant y officier aujourd’hui.
En digne récompense de leur implication, il était normal de les recevoir et même de leur avancer de l’argent pour leur permettre de profiter du complexe comme n’importe quel invité d’honneur qui se respecterait. Une sorte de paiement en “nature” pour bons et loyaux services.
Du reste, si certains se sont laissés tentés par le Seven Sidh et ses réjouissances par pur hasard ; d’autres sont pleinement en recherche de sensations qu’ils peinent à éprouver au quotidien.
Car oui, au risque de sonner cliché ; l’argent ne fait pas le bonheur de tous, au mieux il y a contribué du point de vue purement matériel.
Et il peut être accompagné de son lot de solitude et de dépréciation des plaisirs les plus simples de la vie. Quand on peut littéralement tout s’offrir, plus rien ne semble inespéré ou exceptionnel et tout finit inexorablement par perdre de sa saveur… en tous cas pour ceux qui ont décidé de brûler la chandelle par les deux bouts.
Ceux-là sont en quête d’un ailleurs qui leur ferait reprendre goût à l’existence et de manière générale ; beaucoup envisagent le Seven Sidh comme un refuge.
Le moyen d’y incarner qui ils souhaitent en marge des tabloïdes et de simplement profiter sans craindre les conséquences habituelles ; le bashing médiatique, les obligations familiales ou professionnelles…
Et c’est précisément sur cette corde sensible que l’argumentaire commercial du Seven Sidh se concentre.

Parce qu’ils ont les relations (hautes placées)…adéquates.
La plupart des Seikaku ont et…continuent à évoluer dans des cercles restreints de la haute société connus pour être assez hédonistes et libertins.
Avec parfois, une nette propension pour le flirt avec l’illégalité…
Les plaisirs jugés immoraux n’étant accessibles que par certains biais bien connus des initiés.
Ils savent déjà ou se doutent fortement que tout peut s’acheter.
De fait, certains en usent et en abusent depuis un moment ; ce qui en faisait des clients faciles à ferrer.
Sans parler de ceux ayant déjà relationné ou même collaboré avec la pègre pour servir leurs intérêts ou ceux de leur business.
Tout comme ceux appartenant déjà au milieu criminel international ; qui ont forcément eu vent du projet Seven Sidh à un moment donné et l’ont logiquement envisagé comme “the place to be” pour opérer une retraite bien méritée… à condition d’être en bons termes avec les clans propriétaires des lieux. Certains ont même participé de près ou de loin à son émergence.
Quant aux moins biens renseignés ou aux plus “sages”, c’est aux habiles démarcheurs du complexe de les convaincre de rejoindre le club très fermé des invités d’honneur en leur promettant monts et merveilles.
Ceci bien sûr après les avoir identifiés comme répondant à tous les pré-requis nécessaires.
Car être plein aux as a beau être la base, c’est loin d’être suffisant pour accéder à l’antichambre de tous les plaisirs…

Chaque Seikaku en devenir sera affilié à un émissaire Meijin qui s’occupera de réunir et compiler en sa présence tous les documents nécessaires à son admission sans que ce dernier n’ait à se déplacer en Irlande dans un premier temps.
L’émissaire en question est bien souvent le démarcheur qui est entré en contact avec lui de prime abord ou un espion/archiviste du Data Center.
Parmi les documents à signer, on retrouvera évidemment l’accord de confidentialité, le règlement intérieur et une charte spécifique aux invités que tout Seikaku doit s’engager à respecter à la virgule près une fois sur An Rubha.
Histoire de bien préciser d’entrée de jeu aux clients qu’on leur prête volontiers tous les jouets qu’ils veulent mais qu’ils doivent impérativement les rendre intacts. Et surtout que tous les abus qu’ils seraient amenés à faire subir à leur corps sur place seront sous leur entière responsabilité et jamais imputables aux instances du Seven Sidh (clause de non-responsabilité).
A cette occasion l’émissaire présentera une brochure électronique au Seikaku en s’attardant plus en détails sur toutes les prestations offertes et la description des trois quartiers du complexe. Mais à ce stade, il sera impossible de laisser un quelconque support promotionnel du Seven Sidh au client, histoire d’éviter toutes fuites d’informations involontaires en cas de perte ou de corruption de données.
Il devra également réfléchir au pseudonyme (respectueux de la charte) qu’il souhaite adopter sur place et le transmettre au Service Relation Clientèle pour qu’il soit validé. Des suggestions pourront lui être faites s’il est indécis ou manque d’inspiration.
Lors d’une deuxième entrevue qui devra avoir lieue à l’agence Seven Wonders dans le meilleur des cas (l’émissaire pourra à nouveau se déplacer en cas de force majeure), l’aspirant Seikaku recevra le fameux coffret en bois laqué gravé du sceau du Seven Sidh qui lui est dû.
A l’intérieur, bien protégés par un renfoncement en soie pourpre, il trouvera tout d’abord son Gilded Pass (accompagné de son étui de protection transparent et étanche), une carte d’identité magnétique unique contenant toutes les informations nécessaires à son évolution sur l’île et à même de déverrouiller les accès qui lui seront spécialement dédiés, à commencer par le portail de Nagisa. Le cas échéant, il servira à gérer les accès temporaires aux chambres et boudoirs privatisés sur place.

Bien qu’il offre moins de liberté de mouvement que le Blue Pass des Meijin, il n’en reste pas moins très intéressant du point de vue des résidents permanents qui souhaiteraient prendre la fille de l’air ; de fait les Seikaku ont pour consigne d’être extrêmement vigilants et de toujours avoir un oeil dessus.
Un simple scan dudit pass avec leur téléphone personnel permettra à chacun d’avoir accès à l’Intranet et à son espace Virtual Sidh.
Parce qu’il doit être arboré en permanence par les Seikaku, le Gilded Pass est accompagné d’une lanière safranée en cachemire confortable à porter autour du cou et d’un porte-badge extensible pouvant être accroché à la taille ou à une poche de costume.

En marge du pass, trois bracelets-manchettes identiques (ou presque) seront disposés dans le coffret et assortis d’une petite pochette de transport/protection pucée. Surnommés “Kizuna”, (絆, lien ou liaison) ils sont réalisés à partir du tissu d’une ceinture Obi unique de haute qualité et sont destinés à marquer l’appartenance des Hanako et des Geiko loués au Seikaku associé dès lors qu’il a réservé/payé un créneau.

En plus d’être plutôt pratiques tout en restant esthétiques ; les Kizuna servent tout autant à informer visuellement les autres clients qu’un artiste ou un courtisan est déjà en “bonne” compagnie qu’à… flatter l’ego trip des Seikaku. Car le fait de nouer un bracelet identique au leur autour du poignet de leur escorte rend presque manifeste le fait qu’il devienne temporairement leur propriété. Il est vivement conseillé d’adopter ce geste comme un réflexe au tout début de chaque rendez-vous tarifé, le troisième bracelet servant en cas de double location.
Semblable à une signature personnalisée, le Kizuna peut cependant être arboré en toutes circonstances par le Seikaku s’il le souhaite.
La ceinture Obi ayant servi de matière première étant systématiquement conservée aux archives avec son dossier personnel, il sera possible de confectionner d’autres Kizuna en cas de perte ou de dégradation des premiers (même si ce seront sans aucun doute les plus réussis).

En cas de perte ou de vol d’un pass ou d’une série de Kizuna, un Seikaku aura le devoir d’en référer d’urgence à un Meijin pour qu’il soit en mesure d’alerter à son tour le Data Center et tenter ainsi de localiser l’objet. Les personnes incriminées s’il y en a seront punies comme il se doit. Quant au Seikaku, il aura droit à un rappel des consignes élémentaires… plus ou moins passif-agressif dépendant de son degré de négligence au vu de la situation. Dans le meilleur des cas, l’objet sera remplacé/retrouvé et la vie reprendra normalement son cours.

Etant donné que l’inscription en tant que Seikaku coûte un bras (voire deux) et que le Gilded Pass ne peut rester valide sur la durée que via un abonnement assez onéreux prélevé tous les mois (le prix varie en fonction de la fréquence des visites du Seikaku au Seven Sidh, une seule visite mensuelle permet de diminuer significativement les frais d’abonnement), chacun recevra également en “cadeau” : Une tenue traditionnelle japonaise assortie à ses Kizuna ainsi qu’un kit SPA de bienvenue qu’il pourra choisir et qui contiendra un peignoir ainsi qu’un assortiment de produits taille voyage associés au Hammam ou au Onsen.
Un repas tous frais payés leur sera également offert au NE-O ou à la Maison Shinju ainsi qu’une place pour assister à une représentation au Théâtre.

Les Seikaku dits “d’exception” bénéficient d’un régime particulier et de certains privilèges supplémentaires lors de leurs visites au Seven Sidh.
Pour faire simple, il s’agit des “bienfaiteurs” du complexe, qu’ils soient des actionnaires (le plus souvent les grands pontes des différents clans) ou fassent partie de l’équipe d’ingénieurs et de fournisseurs qui ont travaillé activement à son élaboration sans pour autant y exercer aujourd’hui (même si certains peuvent être mandés ponctuellement pour dispenser des conseils ou aider à régler des soucis d’ordre structurel / technique).
Au regard de leur implication dans le projet, il est logique de les avoir exemptés de frais d’adhésion et de leur avoir délivré un Gilded Pass spécial nommé Gilded Pass Infinite.
Il a la particularité de rester actif sans aucun frais d’abonnement.
A titre d’avantages en nature pour les remercier de leur travail effectué en amont et de leur disponibilité depuis l’ouverture du site ; certains Seikaku d’exception reçoivent même des Toshidama (年玉, étrennes) directement sur leur compte Okane à plusieurs occasions dans l’année (anniversaire, nouvelle année, saison estivale, évènement particulier…) ; et donc de l’argent bonus à dépenser uniquement sur place.
A noter que les Seikaku “lambda” peuvent également en bénéficier une fois inscrits depuis suffisamment longtemps ou après avoir effectué un certain nombre de visites en guise de récompense pour leur fidélité.
(Pour plus de détails, se référer à la partie “Etre invité d’honneur au Seven Sidh”)

Ils sont considérés comme visiteurs et clients-rois indépendamment de la durée de leurs séjours sur An Rubha.

Disons que c’est à nuancer.
Mais en soi, les Meijin sont leurs hôtes et ont tout autant le devoir de les choyer que de les… foutre dehors s’ils ne respectent pas les règles de la maison.
De fait, il faut savoir habilement doser les largesses avec eux et les respecter en tant que figures d’autorité dans l’enceinte du complexe.
Pour autant, si les Seikaku n’ont rien à se reprocher en termes de comportement sur l’île ; ils n’ont évidemment aucune remarque désobligeante ou ordre à recevoir des Meijin car ils ne sont ni leurs subalternes ni leurs employés.

…PARTY HARD…

Oui, au cas où ce n’était pas suffisamment limpide, les Seikaku ne se rendent généralement pas au Seven Sidh pour bosser (même si certains ont du mal à décrocher)... Ils sont au contraire là pour se ressourcer et vivre leur meilleure vie l’espace d’une nuit ou de quelques jours pour les plus chanceux.
Dépendant des goûts et des couleurs de chacun, cela peut prendre différentes tournures ; de la plus healthy/zen à la plus décadente.
Et bien sûr, tous les résidents sans exception sont là pour servir ce dessein et leur offrir le caviar du divertissement.

En aucun cas.
En plus d’être l’apanage des Meijin, c’est justement ce qui leur permet d’assurer la sécurité de tout un chacun au sein du complexe.
Les Seikaku sont donc assurés d’entrée de jeu d’être entre de bonnes mains.
Bien sûr, une marge de manœuvre leur est allouée concernant les accessoires type cannes, pics à cheveux, limes à ongles ou briquets ; dès lors qu’ils sont scrupuleux dans leur utilisation et ne les égarent pas à tous bouts de champs (ils savent pertinemment qu’ils ne doivent pas confier ces objets à des Geiko ou des Hanako même temporairement).
En revanche, zéro tolérance pour les lames de toutes types (rasoirs, opinels, etc…) et pour tout ce qui ressemblerait de près ou de loin à une arme sans faire partie d’une panoplie typique de richou excentrique.
N’importe quel objet qui ne serait pas “admis” au Seven Sidh leur sera de toutes façons confisqué lors de leur passage du portail de Nagisa, où ils seront scannés de la tête aux pieds tout comme leurs effets personnels.

Question assez épineuse en réalité.
Mais si ça devait arriver, ce serait sans aucun doute exceptionnel dans la mesure où tous les Seikaku ont déjà une activité plus ou moins soutenue que ce soit dans le domaine professionnel, médiatique ou…les deux.
Même ceux qui sont simplement rentiers / héritiers ont en général beaucoup d’obligations à honorer.
Cela induit forcément qu’ils ne sont pas en quête d’une autre activité rémunérée (la plupart gagnent même mieux leur vie que les dirigeants du Seven Sidh donc à partir de là… voilà) et qu’ils sont bien implantés dans le paysage, connus comme faisant partie des gros bonnets à minima à l’échelle nationale quand leur influence n’est pas d’ors et déjà visible dans le monde entier.  
En d’autres termes, s’ils allaient s’enfoncer dans un trou paumé au sud de l’Irlande et laissaient leur vie de nanti souvent assortie d’un poste à hautes responsabilités derrière eux ; ça ferait forcément jaser et tous les projecteurs seraient braqués sur An Rubha.
Ce qui, pour rappel, n’est souhaitable pour personne et certainement pas pour les Meijin.
Tout comme ils y réfléchiraient à… maintes reprises avant de sévir jusqu’au point de non-retour pour punir un Seikaku qui n’a pas joué le jeu ; les Meijin feront preuve du même excès de prudence pour ce qui est d’en engager un.
Ils seront moins frileux à l’idée de recruter un Seikaku ayant déjà un pied dans la pègre ou appartenant à l’un des clans régents, cela va de soi. Mais dans tous les cas, la question sera longuement étudiée et discutée.
Et les seules possibilités pour un Seikaku nouvellement salarié du complexe seront de rejoindre les rangs des Meijin ou à la rigueur des Kinshin ayant le statut “cadre”.
Dans des cas encore plus rares ; on pourrait imaginer un Seikaku qui serait une célébrité en sérieuse perte de vitesse ou déjà reléguée au placard et qui souhaiterait retrouver un semblant de sa gloire d’antan en devenant Geiko…mais à ce moment-là, tout dépendra de ses arguments, de ses talents résiduels et des casseroles qu’il se traîne dans les médias.
Autant dire que les Meijin ne prendront aucun risque inconsidéré.
En revanche, un Seikaku n’a aucune chance de finir Hanako peu importe dans quel traquenard il s’est fourré ou les ennemis qu’il s’est fait. Cela renverrait une image trop “dégradante” du statut (normalement) sacro-saint d’invité d’honneur et donnerait l’impression que les Meijin sont parfaitement à même de trahir leur clientèle dès qu’un deal alléchant se présente. Par souci d’intégrité, ils refuseront automatiquement toutes propositions visant à prostituer sous la contrainte un visiteur dûment inscrit comme membre.

> Si vous envisagez un changement de groupe, il faudra une traçabilité en RP obligatoirement avec les acteurs concernés dont un dirigeant au vu du caractère exceptionnel de la situation ;  ceci bien sûr après avoir informé le Staff de votre projet et obtenu leur accord.

Certainement pas sur An Rubha en tous cas.
Et la plupart n’ont même aucun pied-à-terre en Irlande.
Lors de leurs visites au Seven Sidh, plusieurs possibilités d’hébergement s’offrent à eux.
A commencer par le Temple-Auberge qui est le seul véritable établissement hôtelier de l’île et ne peut être réservé que pour des séjours incluant deux nuits au minimum.
Constamment complet car très prisé, il doit être obligatoirement booké à l’avance.
Pour les Seikaku seulement de passage ou les moins prévoyants, ils ont possibilité de louer à la nuitée des boudoirs au club Hanging Gardens et au salon fumoir Chasing Dragons ou encore une “salle de jeux” au club S&G. Tous comportent une “zone” de couchage et une salle de douche avec sanitaires.
Bien entendu, rien à voir avec l’opulence et la qualité de service du Temple-Auberge mais ils ont au moins le mérite de dépanner tout en restant richement décorés et idéaux pour accueillir des ébats torrides…

La zone du Gakejoû sauf sur invitation exceptionnelle d’un dirigeant mais ces derniers s’arrangeront toujours pour fréquenter les Seikaku à l’extérieur du Château.
Interdiction formelle d’essayer de pénétrer dans la Seirô ou de dépasser le vestibule de l’Okiya ; les Seikaku se devant de respecter la vie (pseudo) privée des Hanako et des Geiko.
Evidemment, ils n’ont rien à faire dans les Communs non plus bien que l’entrée n’en soit pas gardée. Si l’affichage “Staff only” ne suffit pas, le Concierge et les Kinshin présents seront… ravis (blasés) de les renseigner de vive voix pour qu’ils fassent demi-tour.
Ils ne sont pas non plus autorisés à fureter du côté des coulisses et des dépendances du Théâtre (comme le dicte la logique…).
En dehors de cela, les Seikaku se doivent de respecter les périodes de privatisation au personnel / de fermeture de tous les lieux du complexe ; spécialement étudiées pour impacter le moins possible leur expérience et avoir cours à des moments de faible affluence.
Là encore, un affichage très clair est disposé à l’entrée des lieux concernés et ne laisse guère de place à l’ignorance ou à la mauvaise foi.
Passées ces recommandations, les Seikaku sont libres d’aller et venir à leur guise sur l’ensemble du complexe.

Heureusement, sinon cela finirait vraiment par leur coûter cher.
Plus sérieusement, ils sont porteurs d’un pass et sont de fait libres de leurs mouvements mais aussi parfaitement traçables via ce même pass et tous les appareils qu’ils ont utilisés au moins une fois pour se connecter au Virtual Sidh.
Il est donc aisé de les suivre à la trace pour peu que ce soit voulu par la tour de contrôle même en dehors de l’île et… d’agir en conséquences si jamais leurs activités / leurs connexions sont jugées suspectes.

Cela dépend énormément des profils.
Mais les Seikaku déjà assidus ont leurs habitudes et leurs activités favorites.
Par ailleurs, absolument tout peut être réservé en avance via leur interface Versus peu importe où ils se trouvent sur le globe. Leur Gilded Pass garde en mémoire un lien vers une page internet cryptée leur donnant accès au Virtual Sidh comme s’ils étaient sur place, moyennant un mot de passe connu d’eux seuls et un scan rétinien via webcam / caméra.
Pour les plus “tradi”, il y a aussi possibilité de tout programmer directement à l’agence Seven Wonders de Baltimore avec l’appui et les conseils d’un travel planner. Ce dernier peut même devenir une sorte de guide-assistant pour les Seikaku qui en font la demande et les accompagner tout au long de leur séjour pour les aiguiller en temps réel sur ce qu’il serait mieux de faire à tel moment de la journée ou de la nuit.
Evidemment, ce service d’exception a un coût supplémentaire.
Sans surprises, les activités proposées en journée se concentrent essentiellement autour de l’Acedia quand soirée et nuit font la part belle au Luxuria et au Superbia.
Dans tous les cas, il y aura toujours de quoi faire et contenter n’importe quel désir ou aspiration.
Même le Seikaku le moins organisé de la planète trouvera toujours à s’occuper sans avoir rien réservé car c’est aussi une promesse du Seven Sidh en tant que paradis perdu.

Dans la mesure où absolument tout ce qui est proposé au Seven Sidh est spécialement étudié pour divertir au mieux les Seikaku et être un enchantement des sens perpétuel ; la liste serait beaucoup trop longue.

Léger bémol cependant, toutes les distractions ne sont pas accessibles sans conditions.
Les Seikaku souhaitant bénéficier de la compagnie rapprochée des Tsubaki, Higanbana ou Geiko (bref, tout escorting pouvant inclure des relations charnelles) devront montrer patte blanche et avoir numérisé un dépistage MST/IST complet (et négatif, cela va sans dire) ancien de deux jours maximum avant la date de leur rendez-vous sur leur compte VS.
En effet, ils ne font que pré-réserver les créneaux quand ils s’y prennent longtemps à l’avance (ce qui est néanmoins conseillé surtout concernant les artistes ou les courtisans les plus demandés). Leur rendez-vous ne sera complètement validé qu’une fois qu’ils auront fourni cette preuve et ils ont alors tout intérêt à prendre leurs dispositions sérieusement s’ils ne veulent pas avoir à régler une prestation dans le vide… car oui, toute pré-réservation devient non remboursable (et non annulable) à J-7 histoire de pouvoir fixer les plannings des escortes suffisamment en amont.
Au cas où un Seikaku soit dans l’incapacité d’honorer son rdv faute de dépistage valide, il aura néanmoins plusieurs solutions de repli.
Soit annuler complètement la location en dernier recours (bien qu’elle ait été facturée) directement au Hanamachi ou dans le vestibule de l’Okiya, seules les bornes présentes sur place permettant d’effectuer la manœuvre ou bien faire une demande de “chaperonnage” directement sur l’interface VS.
Tous les Meijin à proximité vont recevoir une alerte et s’ils ne sont pas expressément en train de faire quelque chose, l’un d’entre eux devra se dévouer pour surveiller le Seikaku plus ou moins discrètement durant toute la durée de la location. Il informera également expressément le Hanako ou le Geiko concerné comme quoi, cette fois-ci ; hors de question de verser dans le “plus si affinités” car le Seikaku ne remplit pas “toutes les conditions requises”.
Les contacts légers seront tolérés uniquement avec les mains et sans qu’il ne soit jamais question de bouche ou de parties génitales.  
Parce qu’il est incontestablement casse-bonbons pour tout le monde, le chaperonnage n’est possible qu’à fréquence très réduite. Ce joker n’est accessible que deux fois par an pour tout Seikaku qui se respecte et fort heureusement, peu sont ceux à privilégier cette solution même en dernier lieu.
(Pour plus de détails concernant les dépistages, se référer à la partie “Rapport à la santé et aux drogues”).

Comme précisé plus haut ; une sorte de système de récompenses sous forme de Toshidama (argent virtuel déposé sur la banque en ligne Okane de leur compte Versus) est accessible à tous les Seikaku dès lors que :
> Ils ont effectué 50 jours de visite au Seven Sidh (fractionnés en plusieurs séjours évidemment) ou ont 1 an d’ancienneté comme membre.
A ce stade, ils reçoivent déjà un petit quelque chose pour leur anniversaire et pour la Nouvelle Année.
> Tous les 50 jours de visite, les Seikaku reçoivent un cadeau supplémentaire et chaque nouvelle année d’ancienneté augmente la fréquence des Toshidama “événementiels”.

Pour ce qui est de parrainer un confrère/une consoeur, c’est assez compliqué à mettre en œuvre dans le sens où les Seikaku ne sont pas censés vendre la mèche à propos du Seven Sidh à qui que ce soit. Par contre, ils peuvent souffler aux Meijin concernés des recommandations qu’ils étudieront avec soin. Si cela devait déboucher sur une nouvelle inscription, le Seikaku ayant initié la “rencontre” sera bien évidemment dans les petits papiers de l’Administration mais… n’y gagnera rien matériellement parlant sur l’instant.
Quant à la perspective de se faire accompagner par un profane, c’est évidemment un “Non” catégorique. Il n’existe pas et n’existera sans doute jamais de pass Invité car ce ne serait pas du tout gérable ni en adéquation avec la politique de confidentialité très stricte des lieux.
N’en déplaise aux Seikaku, ils devront laisser garde du corps, majordomes, agents et autres au niveau de l’embarcadère de l’île principale (à moins que eux-mêmes soient enregistrés comme Seikaku naturellement).

En temps normal, toutes les prestations pouvant être bookées à l’avance seront non annulables et ipso facto non remboursables à J-7.
Cela permet à tous les employés du Seven Sidh de pouvoir s’organiser en conséquence et de gérer leur propre emploi du temps ainsi que les approvisionnements et autres préoccupations d’ordre logistique.
En période de faible affluence, quand peu d’établissements affichent complet, une plus grande marge de manœuvre est permise et peut aller jusqu’à une annulation totale sans frais même à J-2 (pour pousser à la consommation et avec une exception notable concernant les locations de Hanako et Geiko). Dans tous les cas, les Seikaku sont tenus au courant en temps réel via des notifications dépendant des prestations qu’ils ont déjà réservé et de leurs préférences en termes de fréquentation.
Autant dire que tout ce qui est booké en temps réel le jour-même est directement facturé dès validation du Seikaku (parce que pas le temps de niaiser…).
En cas de force majeure, si un Seikaku doit reporter son séjour à la dernière minute ; il devra contacter au plus tôt le Service Relation Clientèle du Seven Sidh et voir ce qu’il est possible de faire. Le plus souvent, si les prestations ont déjà toutes été facturées, on propose simplement un report gratuit au Seikaku à la date de son choix si tant est que les dites prestations soient disponibles à la date souhaitée.
Dépendant des circonstances de son annulation tardive et de son ancienneté en tant que membre, le SRC se montrera plus ou moins arrangeant et pourra même effectuer un remboursement directement sur le compte Okane du Seikaku concerné (notamment en cas de vol d’avion annulé, de décès d’un proche / urgence familiale, de soucis de santé impactants...).

Si les Seikaku ne doivent pas obéir formellement à un dress code pré-établi, ils sont néanmoins avisés qu’une tenue de soirée ou tout du moins correcte et élégante sera exigée pour fréquenter l’ensemble des établissements du quartier Superbia (histoire de simplifier les choses).
On leur préconise également de ne pas verser dans l’exhibitionnisme pur lors de leurs déambulations au Luxuria, sachant que les Hanako eux-mêmes ne tombent pas dans le vulgaire bas du front quand ils apparaissent publiquement.
Rien ne les empêche d'être plus décontractés et fantasques niveau garde-robe quand ils fréquentent ce quartier ou l’Acedia en tous cas.
Mais autant vous dire que la plupart des Seikaku mettent en général le paquet en termes d’apparence sans attendre qu’on le leur suggère ; exhibant les dernières réalisations d’un créateur de mode en vogue et demeurant pour beaucoup férus de vêtements et d’accessoires hors de prix.
C’est presque devenu une “compétition” amicale pour certains de se faire mutuellement de l’ombre à ce niveau-là, tout du moins pour les plus concernés par la mode et le luxe passablement ostentatoire.

Non, aucune. Là encore, ils savent d’ores et déjà parfaitement accorder chaque élément de leurs tenues et s’entretenir sans requérir de conseils. S’ils sont amenés à les retirer, on leur demande néanmoins une vigilance accrue concernant leurs bijoux, montres et pics à cheveux métalliques (qui valent leur pesant de cacahuètes et peuvent attirer les convoitises…).

> Le Gilded Pass
> Le Kizuna (pas systématique mais fréquent)
> Les vêtements de marques réputées
> Le florilège d’accessoires de luxe

Même refrain que pour les Meijin et les Kinshin, c’est-à-dire non.
Le Seven Sidh n’est pas du tout étudié pour accueillir les animaux de compagnie à quelques exceptions près pour égayer le quotidien des résidents permanents ou mener des opérations spéciales.
Un passe-droit est accordé aux chiens d’aide pour les Seikaku souffrant de handicap mais c’est bien le seul.

Il y a énormément de nuances à apporter dans cette question car “être en bonne santé” veut à peu près tout et ne rien dire…
En dépit de leur fortune purement pécuniaire, il était forcément attendu que certains Seikaku souffrent de maux chroniques ou de handicaps et le Seven Sidh a été pensé pour s’adapter à chaque situation et faciliter leur suivi sur place et leur accessibilité à tous les services.
Ce qui n’était pas forcément négociable, rien que pour respecter les normes d’accueil du public exigées des grands complexes hôteliers ou de loisirs.
Sans cela, le Seven Sidh aurait dû faire une croix sur une bonne part de clientèle potentielle donc non, les Seikaku n’ont pas à être obligatoirement valides et d’une santé de fer pour fréquenter les lieux.
En revanche, même si une aide supplémentaire leur sera forcément apportée ; ils seront seuls juges de leurs limites et si leur état devait s’aggraver des suites d’un séjour un peu trop spicy au complexe ; ils sont bien avisés qu’ils ne pourront s’en prendre qu’à eux-mêmes au vu de la clause de non-responsabilité qu’ils ont signé à leur inscription.
Le Seven Sidh remplit son contrat en faisant de la santé de ses résidents une priorité absolue donc si les Seikaku décident sciemment de ne pas en faire de même, ça les regardera et ils ne pourront rien… reprocher à ces derniers.
Et il faut bien différencier les maladies chroniques / incurables mais traitées des maladies infectieuses plus ponctuelles et… bien souvent contagieuses.
Concernant ces dernières, les Seikaku sont logés à la même enseigne que toutes les autres fréquentations du complexe et… s’en verront refuser l’entrée jusqu’à être guéris.
Là encore, ils savent à quel point une épidémie sur l’île serait dévastatrice pour la bonne marche des lieux même à l’échelle d’un simple rhume (car n’importe quel employé est obligatoirement arrêté quand il tombe malade et mis en quarantaine) et à ce titre, on attends des Seikaku qu’ils laissent leur mégalomanie et la toute-puissance de leurs désirs de côté quand ils sont souffrants. Tous les documents qu’ils ont signé faisaient bien l’emphase dessus donc ils n’auraient aucune excuse s’ils parvenaient à maintenir leur séjour au Seven Sidh malgré leur état et… évidemment des sanctions sévères suivraient car il s’agirait d’une grave entorse à la confiance que leurs hôtes ont placé en eux.

C’est vraiment pas de chance.
Mais même en proposant 1 million d’euros aux instances du complexe, il leur sera impossible de franchir le portail de Nagisa.
S’il y a bien un domaine dans lequel le Seven Sidh et ses dirigeants par extension s’avèrent complètement incorruptibles, c’est bien la santé car… les ravages causés par la propagation d’une maladie quelle qu’elle soit serait hyper compliquée à endiguer sur un si petit espace et conduirait le complexe à cesser toute activité pendant plus ou moins longtemps pour tout décontaminer. (Est-ce que le trauma du COVID est toujours présent ? Peut-être… Car cela avait notamment conduit à énormément décaler l’ouverture des lieux…)
Autant dire qu’il s’agirait d’une perte de temps et d’argent monumentale, même pour une maladie bien connue et jugée inoffensive.
Tous les Seikaku étant conscients de ça, ils ne sont pas censés essayer de gruger et devront simplement faire demi tour et reporter leur séjour.
Le Service Relation Clientèle prendra rapidement contact avec eux si eux-mêmes ne le font pas pour trouver un arrangement.

Si c’est nécessaire à leur bien-être sur place, oui.
Tous ont de toutes façons eu l’obligation de transmettre un dossier médical à leur inscription, histoire de pouvoir les prendre en charge au mieux en cas de soucis et de permettre une meilleure prise en compte de leurs besoins au préalable notamment en cas d’intolérance alimentaire, d’allergie, etc…
Mais pour la plupart des Seikaku, le Health Center fera surtout office de centre de dépistage de dernier recours pour “sauver” leurs réservations avec des Hanako ou des Geiko, s’ils n’ont pas assez anticiper en amont…
Car bien que cela semble très fastidieux pour les invités d’honneur de se prêter au jeu, absolument tout est mis en œuvre pour leur faciliter l’opération.
Le Bantry General Hospital, partenaire du site ; est prêt à les recevoir à toutes heures, n’importe quel jour pour un dépistage complet et garantit l’accès à des résultats fiables en 4 h maximum. Ce qui est d’une efficacité sans doute jamais observée ailleurs.
Le Health Center devant pour sa part envoyer les échantillons au laboratoire de l’hôpital pour analyses, les résultats mettent en moyenne 6 heures à être reçus donc les Seikaku ont meilleur temps de se rendre directement là-bas s’ils veulent gagner du temps.

Quid des préservatifs me direz-vous ? Pourquoi imposer un tel procédé ?

Tout simplement parce que la confiance ne règne pas du tout à ce niveau-là.
Sachant que les Seikaku fréquentent le Seven Sidh dans l’optique de s’abandonner et de faire la part belle à tous les excès, il était couru d’avance qu’une faible minorité d’entre eux serait assidue dans son utilisation des préservatifs (sans possibilité de les fliquer à ce niveau-là, parce que…vive la galère et le cassage d’ambiance).
Sans compter qu’en termes de sensorialité, ces moyens de protection sont souvent assez rébarbatifs et ne permettent justement pas de se laisser complètement aller.
Donc le mieux pour tout le monde finalement, c’était que les Seikaku prennent leurs responsabilités et montrent toujours patte blanche avant de se mêler aux Hanako et aux Geiko qui de leur côté sont extrêmement bien suivis et se voient même imposé des moyens de contraception “invasifs” pour exempter leurs clients de cette préoccupation supplémentaire.
Sauf vis-à-vis des femmes invitées d’honneur qui ne sont pas à l’abri d’être mises enceintes si elles ne prennent pas elles-mêmes leurs dispositions avant de copuler avec des Geiko ou des Hanako hommes. Mais comme la plupart ont déjà cette habitude dans leur vie de tous les jours, très peu sont celles à l’envisager comme un affront ou une injustice… fort heureusement.

Okay d’accord, mais pourquoi le dépistage ne peut-il pas excéder deux jours d’ancienneté ? C’est vachement short quand même…

Parce que certaines affections très virulentes comme la gonorrhée peuvent être transmissibles après seulement deux jours d’incubation… et que malgré une surveillance relativement assidue des Seikaku en dehors du complexe ; les instances du Seven Sidh seront bien incapables de savoir comment et… avec qui ils auront soigné leurs muqueuses avant de se radiner, la fleur au fusil. (Vous pensez vraiment qu’ils n’ont que ça à faire…?).
Donc procéder ainsi règle définitivement la question.
Encore une fois, bien que cela paraisse contraignant et que certains Seikaku aient en effet grincé des dents ou trouvé cela déplacé de se prêter à un tel exercice systématiquement avant de coucher avec des courtisans ou des artistes , ce sont les règles du jeu.
Rien ne les empêche de fréquenter des établissements moins recommandables et de mettre en péril leur santé et celle de leurs partenaires après tout…
Cela contribue aussi à leur faire prendre conscience qu’ils ne fréquentent pas de simples prostitués ou escortes au Seven Sidh et qu’ils ont un devoir d'irréprochabilité envers eux au-delà du fait qu’ils aient dépensé une somme substantielle pour s’offrir leur compagnie.
Donc ce n’est pas si déconnant et… une fois l’habitude installée ; très peu de Seikaku ont déploré pouvoir s’adonner à tous leurs fantasmes sans aucune retenue, bizarrement…
Ils prennent en effet rapidement conscience d’à quel point, ne serait-ce que pour eux-mêmes et leur ravissement personnel ; il est important d’en passer par là.

Dès lors qu’ils ont fourni les preuves papier / numériques correspondantes et signalé leur obligation de prendre telle ou telle médication ; les Seikaku peuvent parfaitement ramener leur traitement dans leurs bagages ou se faire dépanner au Health Center.
S’ils essayent de faire passer certaines substances, y compris des médicaments clandestinement, cela se retournera immanquablement contre eux et ils devront s’expliquer car ce n’est pas quelque chose de… très apprécié ni toléré en général même vis-à-vis des Meijin.
Le Health Center faisant aussi figure d’infirmerie, ils peuvent bien sûr s’y rendre pour n’importe quel bobo ou si besoin d’une prise ponctuelle de médicament pour soulager un inconfort quelconque, recevoir une injection, faire contrôler un pansement ou le changer, etc…
Et évidemment, bien que tout soit mis en œuvre pour qu’aucun accident d’envergure n’arrive aux Seikaku sur place, ils seront escortés en hélicoptère jusqu’à l’hôpital si leur état est jugé critique.

Plutôt deux fois qu’une…Ils sont là pour profiter après tout et personne ne sera là pour les inciter à la modération.
En revanche, bien que certains excès dûs à leur état d’ébriété soient jugés acceptables ; on pourra très bien refuser de continuer à les servir si leur comportement devient vraiment dangereux pour leur entourage proche, qu’il s’agisse de personnes ou de mobilier d’ailleurs.
S’ils sont jugés trop ivres, on leur refusera aussi par mesure de sécurité l’accès à tous les centres aquatiques (histoire d’éviter les risques bêtes de noyade ou plus simplement, qu’ils souillent l’eau…avec différents rejets corporels).
De manière générale, un Seikaku trop torché qui commencerait à faire n’importe quoi sera rapidement pris en charge par les Meijin et accompagné au Health Center le temps de dessaouler (car oui, on trouve aussi une cellule de dégrisement au Health Center qui prends la forme d’une salle assez confortable avec des fauteuils réglables permettant de s’allonger, l’accès à des boissons très hydratantes, à de la nourriture facilement assimilables et un suivi anti-gueule de bois de compétition..). Car beaucoup d’établissements lui seront de toutes façons fermés pour éviter qu’il ne trouble la tranquillité des autres visiteurs.

Bien que la consommation de stupéfiants soit autorisée au Seven Sidh, on préfère autant que faire se peut qu’elle soit encadrée et qu’elle n’ait pas lieue n’importe où ; le salon fumoir Chasing Dragons ayant été étudié spécialement pour ça et proposant…toutes sortes de douceurs à sniffer, inhaler, ingérer et… évidemment à fumer avec une nette préséance de perturbateurs/hallucinogènes et quelques dépresseurs dérivés de l’héroïne mais quasiment aucun stimulant à part les poppers. La cocaïne et ses dérivés, la meth ainsi que le speed sont jugés trop risqués à “commercialiser” sur place dans le sens où…il est préférable d’avoir des Seikaku amorphes ou dégingandés plutôt que survoltés (pour éviter les accès de violence notamment). Gérer les doses et la propension à développer une addiction dès la première prise est également plus compliqué concernant ces substances-ci donc c’est aussi dans une optique de préserver les invités d’honneur qu’elles ont été mises de côté.

Par ailleurs, les drogues sous forme injectable ne sont ni vendues ni encouragées à être consommées car en termes sanitaires, ce serait trop compliqué à gérer sans mentionner le fait qu’il s’agit du mode de consommation le plus propice aux overdoses et aux mauvaises réactions.

En plus de pouvoir être consommées dans des conditions idéales avec du matériel scrupuleusement nettoyé, les substances disponibles sont pré-dosées dépendant des usages du Seikaku en la matière pour lui proposer à la fois l’expérience la plus agréable mais aussi la moins dangereuse pour son profil particulier.
Il sera conseillé et accompagné en conséquence.
Un accompagnement presque raisonné bien qu’il soit question de drogues et que beaucoup de Seikaku savent apprécier comme ils feraient confiance à un sommelier pour leur proposer les meilleurs vignobles en accord avec leurs goûts personnels et leur repas.

Donc en conclusion, c’est une distraction possible autant pour les initiés que pour les novices mais bien plus encadrée que les autres histoire d’éviter tous débordements.

Les Seikaku sont autrement autorisés à fumer la cigarette / le cigare / la pipe ou à vapoter dans toutes les zones “fumeurs” du complexe.

Peu importe la manière, ils ne sont pas censés évoquer le sujet de près ou de loin avec leurs proches (accord de confidentialité, bonjour) mais surtout ; ça ne servirait pas forcément leurs intérêts… Oui car faut-il le rappeler, la plupart des Seikaku ne se rendent pas au complexe pour enfiler des perles ou faire des masterclass.
Et leur entourage pourrait… se révéler assez hermétique à la démarche.

Le fait qu’ils soient clients et que tout le monde soit aux petits soins pour eux leur confère peut-être le statut le plus enviable du complexe, en tous cas pour ceux qui parviennent à faire la part des choses entre… ce qu’ils vivent au Seven Sidh et ce qui a cours dans la “dure” réalité.
Car il sera très tentant pour les Seikaku de tomber… amoureux de l’endroit et par extension de répercuter ce sentiment sur les résidents qu’ils fréquenteront le plus.
A ce titre, ce n’est sans doute pas… si simple ni si aisé d’être un invité d’honneur sachant que tout ce qu’on touche du doigt quelques semaines par an seulement ne fera jamais partie intégrante du quotidien. C’est bien sûr ce qui fait aussi le charme des lieux et lui confère autant de succès.
En tant qu’hôtes de marque et garants de la sécurité des lieux ; les Meijin sont les seuls à qui les Seikaku devront potentiellement rendre des comptes et ils ont tout intérêt à maintenir les meilleures relations possibles avec eux. Ce qui passe aussi par le fait de les solliciter avec… parcimonie car ils ne sont pas censés venir au Seven Sidh expressément pour eux.
Tant que les rapports restent cordiaux et que les Seikaku se font un devoir de respecter les règles ou d’obtempérer directement en cas d’impair, ils sont assurés de maintenir tous les voyants au vert avec la caste dirigeante.

Concernant les Kinshin, bien qu’ils leur soient totalement dévoués ; les Seikaku se doivent de ne pas abuser de leur statut au point de leur manquer de respect ou de compliquer inutilement leurs tâches… Ils ne doivent également rien exiger d’autre d’eux que ce pourquoi ils ont été engagés. Certains Seikaku sont prêts à tout pour glaner une ou deux faveurs sexuelles au rabais sans s'encombrer d’un dépistage et à ce titre, il est demandé aux Kinshin d’être intransigeants et de rester professionnels en toutes circonstances.
Bref, hors de question de se permettre n’importe quel caprice avec les employés du complexe.
Néanmoins, s’ils ont particulièrement apprécié les services d’un Kinshin, ils sont encouragés à lui verser un pourboire.

Pour ce qui est des Hanako et des Geiko, les Seikaku se doivent (ironiquement) d’être encore plus regardants quant à leur comportement et surtout de rester attentif au port des pochettes et des charmes… Là encore, tout a été facilité pour leur permettre de savoir au premier coup d’oeil qui est déjà loué, qui est de relâche et qui est en mesure de les satisfaire sexuellement donc ils n’ont aucune espèce d’excuse.
Bien sûr, dès lors qu’ils ont payé et noué un Kizuna au poignet d’un Hanako, ils sont en droit d’attendre un flirt plus ou moins poussé suivant le grade du courtisan et à ce que le moindre de leur désir soit pris en compte et assouvi.
Ce qui n’est pas automatique quand il est question des Geiko et une fois n’étant pas coutume, ils le savent pertinemment et se doivent de respecter la volonté des artistes et ce qu’ils sont prêts à partager avec eux au compte-goutte. Tous ont normalement intégré depuis le début que Hanako et Geiko ne proposent pas du tout le même type d’accompagnement et que dans tous les cas ; l’argent investi ne leur permet pas de disposer d’eux n’importe comment et en se conduisant comme des animaux.
Ainsi, ils se doivent aussi de respecter leur espace personnel quand ces derniers n’arborent pas de charme et d’éviter de les alpaguer ou de leur tenir la jambe ; cela les mettant dans une posture assez inconfortable et empiétant sur leur temps de repos.
Ce n’est pas parce les Seikaku ont eu l’illusion de posséder un courtisan ou un artiste l’espace d’une nuit que ce dernier a… un quelconque lien privilégié avec eux immédiatement ou pire, un devoir d’attention perpétuel envers eux.
Les Seikaku les plus… heureux seront sans doute ceux qui envisageront leurs échanges avec les résidents permanents comme des transactions assorties d’un habile exercice de théâtre et rien de plus.
Par égard pour les Hanako et les Geiko qui les auraient fréquenté en zone grise, ils sont fortement encouragés à les rémunérer sous forme de pourboires et peuvent d’ailleurs leur en verser à la suite de chaque location s’ils le souhaitent.
Ce qui est hautement préférable comparé au projet de leur offrir des cadeaux… surtout si ces derniers proviennent de l’extérieur.
En soi, ce n’est pas formellement interdit mais comme cela pourrait être vecteur de jalousie et créer des inégalités entre les escortes ; on conseillera toujours aux Seikaku de rester sobres dans leur attentions et de privilégier les pourboires.

Entre eux, les Seikaku peuvent relationner comme ils l’entendent du moment qu’ils n'empiètent pas négativement sur l’expérience de leurs confrères et consoeurs.

C’est là que le bas blesse…
Au-delà du fait que cela risque d’être assez difficilement gérable pour eux, le tout sera de rester on ne peut plus discret et de ne pas outrepasser le règlement ; ce qui sera pour ainsi dire impossible s’ils souhaitent romancer un Hanako ou un Geiko et qu’il se trouve que c’est réciproque…
Toute relation sexuelle non tarifée avec ces derniers étant interdite, ça risque de beaucoup limiter leur champ d’action sans compter qu’ils ne peuvent pas avoir accès à l’Okiya ni à la Seirô donc oui non… Vraiment pas ouf’ comme perspective à moins de tenir à bâtir quelque chose uniquement sur la base des locations / de l’escorting.
Quant aux Kinshin et aux Meijin ; dans la mesure où ils peuvent très bien les voir à l’extérieur du complexe et construire une relation solide en dehors, pourquoi pas... ?
Mais ils devront forcément se tenir à carreau en se retrouvant sur l’île pour n’éveiller aucun soupçon et surtout, éviter d’attirer leur attention à tout prix et de les distraire dans l’exercice de leurs fonctions.

Alors… Tout va dépendre des résidents en question.
Comme explicité plus haut, rien ne les en empêche vraiment s’il s’agit de Kinshin ou de Meijin, ces derniers ayant un pied en dehors du complexe et pouvant expérimenter une sorte de double-vie s’ils s’en sentent les épaules.
Malheureusement, au sein du complexe, ils ne pourront pas vraiment interagir comme étant des conjoints car ça ferait tâche… donc à eux de décider s’ils sont prêts à prendre le pari ou non.
Autrement, ils ont le pouvoir quasi magique de libérer un Higanbana ou un Geiko de sa condition en demandant sa main.
Mais, que tous les fans de Disney se calment... car ce n'est pas aussi simple à mettre en place.
Déjà, autant pour les uns que pour les autres, il faut justifier d'un certain nombre d'années au service du complexe ou en tant que visiteur chevronné pour accéder à cette proposition... Ensuite, il ne faut pas que la demande sorte miraculeusement de nulle part. On accordera beaucoup plus de crédibilité à un Seikaku qui a commencé à relationner de manière tarifée avec un résident depuis quelques années plutôt... que quelques mois. Le Seikaku en question se doit d'ailleurs d'être célibataire s'il souhaite formuler sa demande, c'est autrement impossible. Quant aux escortes, ils s'engagent à pistonner un remplaçant en vue de leur départ. Un Higanbana par exemple devra parrainer un Tsubaki et s'arranger pour qu'il soit promu avant de quitter les lieux. Un Geiko pourra bénéficier de moyens supplémentaires pour démarcher des proches de son domaine artistique et se trouver un(e) filleul(e) également en vue de son départ. Vous l'aurez compris, tout doit être mis en œuvre pour que leur départ impacte le moins possible la bonne marche du complexe et si toutes les conditions sont réunies ; le mariage est accepté et doit se dérouler dans les deux mois qui suivent le départ du résident.
Le contrat de mariage devra être envoyé au complexe et faire foi. Par la suite, les tourtereaux seront bien sûr surveillés et savent ce qui pèse sur eux si jamais ils vendent la mèche à propos du complexe et envisagent lui porter atteinte. Les conséquences peuvent vraiment être dramatiques mais s'ils se contentent de vivre leur vie de couple paisiblement, rien de mal n'est censé leur arriver.
Et vous l’aurez compris, “ce rêve bleu” n’est pas du tout accessible aux Kikyo ni aux Tsubaki dont on estime qu’ils n’ont pas assez… donné de leur personne et rapporter suffisamment d’oseille à ce stade de leur carrière.

Hélas, comme toujours, il n’y aura rien d’équitable entre ce qui est destiné aux Seikaku hommes et aux Seikaku femmes…
Tout invité qui aurait mis une résidente enceinte, peu importe son statut en vérité ; n’aura juste pas voix au chapitre pour ce qui est de lui faire garder l’enfant ou non. Partant du principe que la résidente en question y jouera sa carrière, il y a de très fortes chances qu’elle souhaite avorter dans la majorité des cas ou qu’elle n’ait tout simplement pas le choix si c’est une Hanako ou une Geiko.
Si la situation inverse se produit, à savoir qu’une invitée est mise enceinte par un résident ; la question sera plus compliquée à trancher.
Elle devra faire un choix avisé au vu de la relation qu’elle entretient avec le père de son enfant et restée consciente qu’un Hanako ou un Geiko ne pourront jamais s’impliquer dans la vie de sa progéniture… Et pour ce qui est d’un Kinshin ou d’un Meijin, mieux vaudrait qu’ils aient mûri ce projet à deux et que l'enfant ne soit pas un dommage collatéral… Dans un cas comme dans l’autre, le père risque d’être souvent aux abonnés absents car accaparé par son travail et la Seikaku devra bien garder ce paramètre en tête si elle souhaite garder l’enfant ; qu’importe ce qui la lie au résident en question.
Évidemment, aucun chantage d’aucune sorte ne sera toléré d’un côté ou de l’autre au cas où ce genre “d’incident” se produise. Car oui, l’apparent “miracle de la vie” sera rarement vu d’un bon œil par les instances du complexe.

-> Toujours arborer son Gilded Pass dans l’enceinte de l’île
-> Arborer une tenue correcte quand cela est exigé

-> Respecter chaque personne travaillant au sein du complexe
-> Solliciter les hôtes, les employés et les escortes en bonne intelligence en accord avec leurs attributions
-> Rester attentif au port des pochettes et des charmes, adapter son comportement en conséquence
-> Verser un pourboire de courtoisie à toute escorte qui serait loué en zone grise
-> Eviter d’offrir des cadeaux (autre que des pourboires) aux escortes
-> Respecter toutes les infrastructures mises à disposition
-> Veiller à ne pas égarer d’objets problématiques ou à en laisser à disposition  
-> Ne pas chercher à accéder à des endroits restreints (sauf sur invitation d’un dirigeant)
-> Respecter scrupuleusement le port des Kizuna en cas de location / escorting
-> Respecter les zones “fumeurs”
-> Ne pas avoir d’exigences inconsidérées qui sortent du cadre pré-établi lors de l’inscription
-> Eviter de se mettre en danger / être à l’écoute de ses limites
-> Rester attentif à ses objets de valeur
-> Ne pas garder d’argent physique sur soi (billets, CB, chéquier)
-> Signaler l’introduction de tous médicaments ou substances similaires provenant de l’extérieur

-> Ne rien dévoiler aux profanes (proches inclus) à propos du complexe
-> Gérer au mieux sa santé et rester en retrait du Seven Sidh / ne même pas chercher à y accéder si contagieux (non négociable)
-> Se plier à un dépistage complet au maximum deux jours avant chaque location pouvant inclure des rapports sexuels

-> Respecter la tranquillité des résidents quand ils sont en congés
-> Faire son possible pour ne pas impacter négativement l’expérience des autres visiteurs
-> Rester conscient que tout ce qui transite par l’intranet VS peut être consulté

Les résidents occasionnels / visiteurs du Seven Sidh sont soumis à un système de sanctions bien plus stricte et cloisonné que les résidents permanents dans la mesure où ils ont accès à l’extérieur et multiplient ainsi leurs chances de porter atteinte au complexe, que ce soit volontairement ou à leur insu… et de manière potentiellement plus retentissante.
Toutes les infractions possibles et communément retenues sont listées par stade pour chaque entité qu’ils s’agissent des Meijin, des Kinshin ou des Seikaku.
Dépendant de ce stade de “gravité”, différentes sanctions s’appliquent de la plus… gentille à la plus… définitive. Et personne au sein des trois groupes n’ignore ce qui lui pends au nez en cas de faute.

Tous ces manquements relèvent d’un manque de savoir-vivre ou d’un comportement de diva auto-proclamée. Dans les deux cas, les Seikaku concernés pensent pouvoir s’affranchir de règles basiques sans problèmes comme ils le feraient dans n’importe quel lieu de villégiature au vu de leur statut privilégié. Malheureusement pour eux, ce ne sera pas sans conséquences au Seven Sidh.

- Manque de considération pour les lieux / pollution
- Non-respect des zones “fumeurs” / des privatisations / des fermetures
- Non-respect du dress code / exhibitionnisme
- Violence verbale gratuite / Harcèlement avéré (répété) en public envers un résident
- Possession d’argent physique en grande quantité sur place
- Non-respect des “codes visuels” (charmes, pochettes, pass, kizuna)
- Manque de ponctualité répété aux rendez-vous avec escortes (locations) / Annulations de dernière minute récurrentes
- Plainte recevable d’un résident (toujours après enquête)

Sanction applicable : Avertissement par le Service Relation Clientèle, entretien avec un dirigeant si récurrence et si ces deux rappels à l’ordre n’ont pas suffit, on part sur un retrait du Gilded Pass pouvant aller de trois mois à 1 an.

Les comportements listés ci-après commencent à sérieusement porter atteinte au complexe ou à sa réputation en plus de mettre en lumière le peu de considération des Seikaku incriminés pour ce lieu pourtant exceptionnel qu’ils ont la chance de fréquenter. Mieux vaut alors pour eux qu’ils aient d’excellents arguments s’ils ne veulent pas perdre temporairement (mais sur une longue période) leur accès au site.

- Vandalisme volontaire
- Vol d’objet de valeur
- Passage de substances illicites non signalées (médicaments inclus)
- Conversation suspecte sur place / Comportement suspect vis-à-vis du complexe à l’extérieur
- Plainte recevable d’un autre Seikaku (toujours après enquête)
- Tentative d’infiltration en zone/bâtiment non autorisé(e)
- Violence physique gratuite délivrée en public

Sanction applicable :  Avertissement / Entretien avec un dirigeant, retrait du Gilded Pass pendant 1 an si d’autres infractions ont déjà été commises (stade 1 ou 2).

Aucun traitement de faveur ne sera accordé aux Seikaku qui commettent de tels actes car ils auront achevé de prouver qu’ils ne méritent pas leur place en tant qu’invité d’honneur du Seven Sidh. S’ils ont de la chance, ils ne perdront que leur pass et un surplus d’argent dans le processus… mais certains peuvent aussi y laisser des plumes.

- Utilisation d’un objet pouvant servir d’arme à des fins hostiles (hors légitime défense)
- Vol de pass / d’objet électronique / d’arme
- Relations sexuelles non tarifées avec un Hanako / Geiko
- Violences sexuelles (non consenties)
- Propagation de maladie (MST incluses) / dissimulation d’un état de santé problématique pour les lieux
- Sabotage (d’installations)
- Rupture de l’accord de confidentialité

Sanction applicable : Retrait du Gilded Pass / Exclusion définitive du Seven Sidh / Blacklisting + versement d’une somme substantielle pour dommages et intérêts (dépendant de la faute) et… dans des cas extrêmes, assassinat programmé

S’ils se sont montrés clairement indignes de la confiance placée en eux et de tous les délices qu’on leur offrait généreusement sur un plateau en commettant une infraction de stade 3 très impactante pour le complexe ; les Seikaku peuvent en effet se retrouver avec un contrat d’assassinat sur leur tête…
Les dirigeants n’auront pas pris seuls cette décision et elle aura été obligatoirement validée par au moins quatre des clans qu’ils représentent.
Évidemment, tout sera mis en scène pour que ce regrettable “accident” n’ait rien à voir de près ou de loin avec le complexe et toutes traces de l’adhésion du Seikaku condamné (et de sa présence ponctuelle en Irlande plus largement) aura été scrupuleusement effacée au préalable. De fait, la mise à mort aura lieu le plus loin possible du Seven Sidh.
Quant à l’art et à la manière de procéder, tout dépendra du clan pressenti pour gérer cette crise et… de ses habitudes en la matière.