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    Cantarella
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    Cantarella
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    Date d'inscription : 24/10/2024
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    Lydia Deetz
    feat Megan Fox
    Ruby
    TW de la fiche : Violence, sexe, abus sur mineur et alcool  - Crédit des images : nain timide et osolune - Pseudo (IRL) : ici - Je déclare avoir lu et accepté le règlement : oui - J'autorise le staff à créer des liens au prédéfini avec mon personnage : oui
    informations
  • Lieu de Naissance : Née dans la ville où les femmes furent souvent brûlées pour acte de sorcellerie, sa très chère ville de Salem
  • Nationalité : Américaine
  • Langue parlée : Anglais et français, un peu d'italien
  • Âge & Date de naissance :Trente sept hivers qu'elle est sur terre, née le jour d'une fête sacrée où un homme en rouge et blanc descend la cheminée afin d'émerveiller les enfants avec des cadeaux par millier. Ou se fut encore le cas lors de sa naissance. (25 décembre 1987) : écrire ici
  • Orientation Sexuelle : son employeur n'a que faire de ses préférences et ainsi elle s’arrange à plaire à tout le monde. La ligne est à présent fine et elle ne sait plus très bien par qui elle est attirée, s'il fallait la décrire à présent, très certainement pansexuelle.
  • Statut Civil : Elle n'a pas réellement le droit de connaitre ce genre de frivolité, le célibat doit lui coller à la peau afin de pouvoir satisfaire les âmes en manque d'amour ou sensation forte.
  • Groupe : C'est chez les Hanako qu'elle se trouve
  • Rang : Higanbana, malheureusement pour elle.
  • Métier ou Poste Occupé : Strip-teasese au Hanging Gardens, l'art de s'effeuiller lui colle à la peau depuis plusieurs années à présent.
  • Justification Pseudo : Quand quelque chose vous colle à la peau, vous ne pouvez vous en défaire. Il s'agit là d'une référence à la couleur du collier qu'elle arbore nuit et jour, contenant ni plus ni moins que le sang d'une personne bien spéciale pour elle.
  • caractère
    Tête de mule, lorsqu'elle a une idée en tête -bonne ou mauvaise- elle ne l'a pas ailleurs ~ Curieuse. ~ Protectrice, elle a tendance à prendre la défense des autres plus que la sienne. ~ Combative, elle ne renonce pas si facilement, mais parfois elle ne voit aucune issue ce qui pourrait la frustrer. ~ Secrète, elle ne parle pas facilement d'elle ou de sa vie, préférant garder ce qu'elle peut encore avoir pour elle de secret. Il faudra bien vous rapprocher d'elle pour en savoir plus. ~ Elle était du genre grande gueule auparavant, mais elle dut se résoudre à baisser la tête et obéir pour sa propre survie. Mais ne vous méprenez pas, c'est bien toujours là, au fond d'elle. ~ Séductrice, par la force des choses.
    quotidien au complexe
    Les soirs passent et se ressemblent un peu tous. Elle se lève en même temps que les autres Higanbana pour suivre le rituel presque millimétré de ses soirées. Une vie à l'envers, où les bras de Morphée l'enveloppent la journée pour qu'elle se réveille en soirée. La jeune femme s'échauffe et s’entraîne sur la barre en un premier temps avant qu'elle ne fasse son entrée sur scène ou qu'elle ne soit déjà prise dans le tourbillon des réservations par les Seikakus. Elle tente de faire bonne impression, de donner son plus beau sourire, mais sa préférence reste à exécuter son art sans interruption, sans qu'une location lui coupe l'herbe sous le pied. Si elle a accepté sa condition entre ses murs, s'il y a encore chez elle quelques élans de rébellions, ils sont assez rapidement tués dans l’œuf avec la menace qui plane sur sa personne.
    histoire

    we were born to die

    Salem, c'est le 25 décembre 1987 que les premiers cris de Lydia retentirent dans une salle d'une maternité en présence du père qui sembla submergé par l'émotion de voir une personne si petite. Il lui glissera à l'oreille une promesse, celle de la protéger toute sa vie et c'est ce qu'il fit. Jason militaire de carrière, et Donna, journaliste pour la petite gazette de la ville et bénévole à beaucoup trop de choses, selon son mari. Parfaite petite famille dans une parfaite petite ville. La petite grandit et le ventre de la maman ne paraît plus vouloir s'arrondir, à son grand désespoir, Jason est là pour l'épauler lorsqu'il n'est pas en déploiement. Il se satisfait d'être le père d'une unique fille.

    Elle a 10 ans lorsque son père lui propose d'apprendre à se défendre, parce qu'il n'est pas fou, il sait comment la vie est difficile et encore plus pour les femmes. Avant de lui mettre une arme à feu ou blanche entre les mains, il veut qu'elle apprenne à se défendre avec les armes qu'elle aura toujours sur elle : ses mains et ses pieds. Il lui apprend comme un bon petit soldat sous forme de jeu alors qu'elle ne comprenait pas encore bien le fait même de devoir se défendre des autres. Papa est aimant, maman aussi, mais peut-être un peu moins, elle est toujours occupée et les mots que Lydia entend de sa part sont « Pas maintenant, ma chérie, maman est occupée ». Elle obéit la petite, mais elle devient filousse lorsque Jason est là.

    The road is long, we carry on

    13 ans, âge fatal, âge gravé dans son cœur alors que l'ombre s'invite dans leur famille. Trois coups sur la porte, ils n'ont pas utilisé la sonnette et chacun ici sait que ce n'est pas bon signe. Le petit cœur de Lydia s'arrête avant de se mettre à jouer une course infernale. Ses pas suivent le rythme de son cœur pour arriver à la porte que sa mère a déjà ouverte. Je suis désolée, madame... c'est tout ce que la petite entendra, entrant dans un état second. Son père n'était plus, une attaque dans le pays où il fut envoyé. Les pleures et les cris d'une femme horrifiée de perdre son mari, une fillette qui reçoit une main contre son épaule en guise de réconfort.

    Tout changea, sauf la mère qui ignorait la fille. Ressemblant trop au paternel, il semblerait que ça soit trop dur pour elle. Qu'importe, à présent Lydia se met en tête de devenir militaire pour honorer la mémoire de Jason. Elle s'entraîne, chaque jour, parfois évitant même des sorties avec ses amies pour être prête lorsqu'elle aura l'âge. Donna refusait que sa fille se fasse aussi tuer en mission, pourtant elle ne lui donnait pas l'impression d'avoir une quelconque importance pour elle.

    Elles déménagèrent finalement à Detroit, la famille avait un petit appartement là-bas, Donna avait besoin de changer d'environnement et de ne plus se sentir oppressée par le manque d'une personne dans la maison. Ce manque fut... vite comblé par un homme paraissant un peu trop bien sous tout rapport. Couvrant la mère d'offrande, des œillades vers l'adolescente qui ne vit pas ce rapprochement si soudain d'un très bon œil. Des accolades, des embrassades aussi à la voler qu'elle a pu capturer de son regard et puis finalement, au bout de quelques mois d'entrevue entre des couloirs, il emménagea chez elles. Violation de l'intimité, elle fut juste prise pour une ado rebelle qui n'avait aucune considération pour le bonheur de sa mère.

    I can always say it's gonna be better tomorrow

    Les années passent, les deux tourtereaux se marient avec une fille qui apprit à sourire pour de faux. Lydia ne le sait pas encore, mais depuis des mois déjà le petit ami de sa mère la manipule avec ses mots bien choisit, l'adolescente ne tenant qu'à la volonté d'obtenir de l'affection de sa mère, c'est ainsi qu'il sût jouer sur la corde sensible. Elle s'isolait de plus en plus de ses amis, la gamine, toujours dans son optique de s'engager dans l'armée, pourtant, ce fut quelques semaines après le mariage qu'elle sut que son rêve se brisait. Suivant le parcours général comme le lui avait demandé sa mère, elle ne savait pas que finalement, elle ferait encore tout pour s'opposer à cette carrière, mais plus pour les mêmes raisons que lors du trépas de Jason. Donna venait de passer du côté obscure, son nouveau mari n'était autre qu'un dealer, il gravissait les échelons et entraînait la mère dans une déchéance que la jeune fille ne voyait pas encore.

    Ce fut un soir, alors que la maisonnée fut paisible que le drame se passa, celui qui voulait prendre la place de son père finalement préféra prendre celle de l'amant, s'invitant sans permission dans les draps de celle qui n'a encore que 15 ans et eut des gestes inappropriés envers elle. Le cauchemar ne faisait que commencer pour elle. Ce fut le jour de ses 16 ans qu'il lui vola sa virginité, lui glissant au creux de l'oreille qu'elle était à présent une femme et qu'il avait un cadeau pour elle. Elle avait lutté, mais pas avec toute la force qu'elle aurait pu et bientôt, elle rendit les armes, se haïssant de toute son âme. C'est ainsi qu'un rituel s'instaura au sein de l'appartement, à chaque fois que Donna s'endormait après avoir pris sa dose, il s'invitait dans la chambre de Lydia, finissant même par la convaincre que c'était tout à fait normal comme situation. Premier électrochoc dans le cerveau, 404 réalité et santé mentale not found.

    Travaillant au petit cinéma du coin, elle ne gagnait pas beaucoup comme elle allait encore à l'école, mais elle se devait de donner le moindre dollar à la figure maternelle. Ils en avaient besoin, il semblerait qu'ils connaissaient un petit problème financier et ce fut à l'aube de ses 17 ans qu'elle arriva au salon familiale, sa mère et son mari dans une posture presque solennelle lui demandant de travailler au sex-shop que tenait le mari -pour blanchir l'argent principalement- on falsifia un contrat pour lui donner l'âge légal afin d'y travailler, plus tard sa mère lui révéla qu'elle avait choisi cette option plutôt que de la mettre au poste de dealer. Merci mère.

    Se pliant aux demandes de ses bourreaux, bientôt Donna eut vent des pulsions de son mari le soir dans la chambre de sa fille. Que fit-elle ? Rien, continuant à nier les fait, assurant à chaque fois qu'elle tentait d'en parler qu'elle mentait. Oui, elle aussi fut manipulée pour le croire. Son diplôme en poche, Lydia pensa à se prendre un appartement, mais la situation économique de la ville était des plus désastreuses et le moindre logement correct semblait hors d'atteinte pour elle... de plus, les personnes la logeant avait tout intérêt à ce qu'elle reste encore sous leur toit. Elle n'eut d'autre choix que de rester travailler au sex-shop, après une discussion houleuse et des coups envoyés, Lydia finit par se coucher et accepter. Mais elle commençait à répondre, à reprendre un peu du poil de la bête, malheureusement pour elle ce soudain changement d'attitude plut beaucoup plus à son agresseur.

    Welcome to your nightmare

    Elle entendit des rumeurs, comme quoi les affaires de son beau-père ne marchait plus vraiment, que sa mère avait perdu de sa superbe en se noyant dans les drogues et histoires glauques. Pourtant, jamais elle n'aurait cru ça. Un matin en se levant, elle surprit des bribes de conversation, se demandant si elle allait bien le prendre, mais qu'il n'y avait pas de quoi s'inquiéter au moins là-bas, elle serait mieux et aurait toujours de quoi manger et un toit sur la tête, se rapprochant elle vit son beau-père le sourire aux lèvres alors qu'il l'accueillait. Elle qui voulait quitter le cocon familial aller enfin pouvoir le faire, elle allait avoir le droit à une nouvelle vie où elle s'en sortirait mieux, tous les mots sortant de sa bouche furent pour rassurer la jeune femme, endormir sa confiance et ses inquiétudes. Ils finirent par prendre place sur le canapé et le beau-père lui tendit le contrat qu'elle lut avec attention et en fut totalement horrifié...

    Son cœur battant dans sa poitrine, elle n'entendit même pas les explications des deux pseudo-parents, dont celle qui l'avait mise au monde et se battit comme une tigresse lorsqu'il tenta de l'empêcher de sortir. Elle ne comprenait pas, c'était pour son bien et il ne lui arriverait rien de mal... ils savaient déjà où elle serait. Ce fut au tour de deux hommes de pénétrer dans la pièce et tenter de la maîtriser, des gars de la sécurité qu'elle comprit, mais elle ne se laissa pas faire, griffant, mordant et tentant de donner des coups de pieds et de poings à tout-va... puis finalement on lui appliqua un tissu sur le nez et la bouche et ce fut le néant qui la prit la précipitant dans sa chute.

    Réveil difficile, mal de crâne, puis la panique. Elle se leva dans un sursaut et s'approcha rapidement de la porte, tournant la poignée, sur ses gardes. Rien ne se passe. Des coups de poing sur la porte, sommant son ravisseur de la laisser sortir, mais toujours rien. Du mouvement derrière elle, ses yeux se fixèrent sur un petit groupe de jeunes femmes la regardant comme si elle était un animal sauvage. Elles avaient raison, elle en était un à présent. On lui raconta alors où elle se trouvait et ce qu'elle devait faire à présent, non pas pour garder la vie sauve, mais pour éviter toutes formes de tortures.

    Reborn
    Les mois passent, étrangement Lydia s'acclimate bien à son environnement, mais il lui reste des traces de rébellion, hématomes qu'elle dissimule sans difficulté avec du maquillage avant qu'elle ne se calme à nouveau et ne se plie aux règles de l'établissement. Son minois semble plaire, son corps encore plus au vu des billets qu'on lui glisse dans ses sous-vêtements pour attirer son attention et pourquoi pas même avoir le droit à un lapdance. Le reste de la soirée, elle le passe bien souvent dans une chambre à contenter les plaisirs et les fantasmes d'hommes avant de s'écrouler dans son propre lit.

    Gagnant des points auprès de son propriétaire, étant donné qu'elle fut vendue, on ne pourrait trouver mieux comme terme. Elle fut bientôt dans la possibilité de fouler à nouveau le sol extérieur. Aussi excitant qu'angoissant, Lydia n'avait plus la notion des codes de la société, mais elle les réapprit assez rapidement. Elle mena ainsi une double vie, celle à l'extérieur et celle à son travail. Pourquoi ne pas fuir ? Se rendre même à la police afin d'expliquer son cas ? Le syndrome de Stockholm peut-être. Sa vie externe était rythmée par des amitiés et des relations aussi futiles qu'éphémères... mais il y eut une exception. Louden.

    Elle ne l'avait pas vu venir cet homme, rencontré par l'ami d'un ami. Une année s'écoula avant que les deux ne se confirent sur leurs sentiments l'un envers l'autre, mais aussi que le secret du véritable emploi de Lydia ne soit révélé. Surprenant la donzelle légèrement irritée devant un homme un tantinet trop tactile, elle fut secourue par le jeune homme qui voulu régler le compte de l'inconnu... seulement Lydia paniqua et se confondit en excuse auprès de son client qui s'en alla sans demander son reste, laissant un Louden des plus déboussolé. C'est ainsi qu'elle lui expliqua être danseuse de charme, mais qu'elle vendait aussi ses services pour des moments plus intimes. La relation est tumultueuse, s'il acceptait son métier, il semblait des plus possessifs dans la sphère privée. Cependant, si elle sentait que leur relation n'était pas des meilleurs pour l'un comme pour l'autre, elle ne pouvait s'empêcher de ressentir cette attirance pour lui, pardonnant au fur et à mesure ses excentricités. Le logement de Louden fut rapidement son port d'attache, jusqu'à la prochaine dispute où elle reprenait ses quartiers à son travail... puis il revenait toujours encore plus doux qu'auparavant, lui offrant un sourire dont il avait le secret pour faire craquer celle dont il avait capturé le cœur.

    Leur couple dura trois ans, trois années aussi merveilleuses que déroutante, aussi déchirante qu'addictive. Le dernier cadeau reçu par son cher et tendre ne fut ni plus ni moins qu'un collier couleur carmin, contenant le sang de l'être aimé. Si elle trouvait ça romantique à l'époque, avoir toujours une partie de lui sur elle, beaucoup trouveraient ça dérangeant comme idée. Seulement, il y eut ce soir, le soir de trop. Après une énième dispute, ni l'un ni l'autre ne redescend en pression. Cherchant à partir une fois de plus, il lui bloqua l'accès à la porte et porta sa main à la gorge de la jeune femme. C'est une fois contre le mur, le cœur battant à tout rompre, qu'elle prit l'ampleur de la situation et commença à le repousser de toutes ses forces. Elle a pu s'échapper sous les excuses de son compagnon, mais ce fut bien la dernière fois qu'elle croisa son chemin.

    Dance with the devil

    Quittant la région avec ses maigres économies, ce fut un semblant de contrat qu'elle signa avec un véritable inconnu. Il s'agissait d'un transfert vers un autre établissement, non pas pour sa propre sécurité face à celui qui fut son compagnon, mais plutôt une assurance que ses clients ne soient pas les victimes de ses poings. Seulement la personne à qui elle eut affaire n'était pas un simple maque, mais bien un membre d'une mafia nommé Orzel Bialy. Le temps s'écoula, Lydia fut plus sereine avant de recroiser le même regard qui l'avait englouti quelques années auparavant. Elle ressentit le même bouleversement en elle, la même attirance, cette envie d'être à nouveau sienne pour le reste de son existence... mais les retrouvailles n'en furent pas vraiment une, emportée par une de ses collègues dans l'enceinte de l'établissement dans lequel elle travaillait, la rumeur se propageant dans les couloirs qu'elle serait transférée ce jour même dans un autre établissement à l'autre bout du monde.

    Tentant d'oublier ce regard, cet homme, elle ne serait pas prête de le revoir de sitôt. Se laissant guider par ceux contrôlant sa vie, elle fut en effet mise dans un vol pour finalement apercevoir le paysage Irlandais. Ce fut de courte durée. Passant une batterie de tests, on lui proposa finalement un nouveau contrat, Lydia n'était pas dupe... mais sa liberté serait à nouveau volée et elle n'aurait d'autre choix que de ce plier aux règles beaucoup plus exigeantes que celle de ses établissements précédents. La signature fut apposée en cette année 2021 bien entamée, une nouvelle porte vers l'enfer s'ouvrit à elle.
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